LANGMaster Francouzłtina œ Poslechy nejen na cesty

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LANGMaster Francouzština – Poslechy nejen na cesty
Francouzština FACETTES začátečníci
Stopa 1: Poslechněte si slovíčka a v pauze je zopakujte.
Alphabet
Banane
Cigarette
Docteur
Eléphant
France
Guitare
Hôtel
Idée
Journal
Kiosque
Lilas
Musique
Nougat
Orange
Parfum
Québec
Rose
Salade
Téléphone
Université
Vase
Wagon
Xylophone
Yoga
Zoo
Stopa 2: Poslechněte si abecedu.
a, b, c, d, e, f, g, h, I, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v, w, x, y, z
Stopa 3: Poslechněte si, co říkají různí lidé.
Bonjour, je m’appelle François Legrand. J’habite à Lyon et je suis coiffeur.
Et moi, j’habite à Marseille. Je suis secrétaire de direction et mon nom c’est Martin. Suzanne Martin.
Moi, je m’appelle Paul Maigret et je suis notaire à Rennes.
Bonjour, je m’appelle Pierre, je suis ingénieur. J’habite à Dijon, et vous?
Je m’appelle Julie, j’habite aussi à Dijon. Je suis architecte.
1
Stopa 4: Poslechněte si krátké rozhovory.
1.
Salut, Philippe ! Tu es à Paris ?
Oui, pour deux jours ! Comment ça va ?
Très bien, merci. Et toi ?
2.
Bonjour, Gérard. C’est Madame Dupré.
Ah, Madame Dupré, c’est vous?
Oui, c’est moi. Et vous, vous êtes Monsieur ...?
Oh, pardon, je m’appelle Savin, Gérard Savin.
3.
Pardon, vous êtes Monsieur ?
Renaud.
Jacques ou Philippe ?
Moi, je suis Monsieur Jacques Renaud.
4.
Au revoir, Corinne! ... Ah, Madame Martin! Comment allez-vous ?
Bien, merci. Et vous ?
Ça va. Vous habitez toujours place du Temple ?
Non, maintenant j’habite rue des Rosiers.
Stopa 5: Poslechněte si slovíčka a všímejte si správné výslovnosti.
thé
Désiré
j’habite
Nantes
café
Philippe
France
idée
banane
allée
vous allez
vous êtes
bise
Jacques
vous habitez
Stopa 6: Poslechněte si věty a všímejte si správné výslovnosti.
a. Jacques habite rue Emile Zola à Nice.
b. Mon bébé s’appelle Désiré.
c. Marie est journaliste à Nantes.
d. Allô, Philippe ? Rendez-vous au café Chez André, place Anatole France !
e. Bonne idée !
a. Strasbourg
b. Philippe
c. taxi
d. bonjour
2
e. Alsace
f. André
g. journaliste
h. merci
i. téléphone
j. j’habite
k. pardon
1. café
2. madame
3. université
4. serviette
5. cousine
6. salade
7. qualité
8. liberté
9. téléphone
10. carte
a. la place
b. l’étudiant
c. la pétanque
d. la voile
e. le cadeau
f. l’anniversaire
g. la gymnastique
h. le yoga
i. la couleur
j. le journaliste
k. l’éléphant
l. l’Alsace
a.
Vous habitez toujours place Clichy?
Non, maintenant, j’habite rue des Rosiers.
b.
Qu’est-ce qu’il aime comme couleur?
Il adore le bleu, il déteste le rouge.
c.
Qu’est-ce que tu cherches comme cadeau?
Un CD, les Dupont adorent l’opéra, mais ils n’aiment pas le rock.
d.
Moi, je n’aime pas les romans policiers.
Moi si!
e.
Vous vous appelez comment?
Je m’appelle Alain Moreau.
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Stopa 11: Poslechněte si rozhovor.
C’est bientôt l’anniversaire de Victor.
Ah bon? Il a quel âge ?
18 ans. Je cherche un cadeau. Tu as une idée ?
Qu’est-ce qu’il aime ?
Euh... le karaté, ... le cinéma, ... la musique.
Oui, la musique. Il adore le rap !
Moi aussi ! Qu’est-ce qu’il a comme CD déjà ?
Comme CD ? ... Je ne sais pas, moi. ...
Ou alors une cassette vidéo !
...
Bonsoir Victor. Bon anniversaire !
Oh, merci ! C’est gentil ! ... Oh, une cassette vidéo. Super !
Stopa 12: Poslechněte si otázky a odpovědi.
1.
Vous vous appelez comment ?
Cécile.
2.
Ils aiment les fleurs ?
Oh oui! Ils adorent les fleurs rouges.
3.
Vous êtes Monsieur Deschamps ?
Oui, c’est moi.
4.
Vous habitez où ?
A Marseille.
5.
Qu’est-ce qu’elle aime comme couleurs ?
Elle aime le bleu et le noir.
6.
Ils ont un chien ?
Non, ils ont un chat.
7.
Vous allez bien ?
Très bien, merci.
8.
Vous avez quel âge ?
J’ai 28 ans.
1. Vous allez bien ?
2. Elle préfère le bleu.
3. C’est une cassette vidéo.
4. Tu as une idée ?
5. Elle est sympathique.
6. Ça va.
7. Il habite à Munich ?
8. Il n’aime pas le cinéma.
9. Il cherche un cadeau pour Victor ?
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10. Il est architecte.
a. Vous aimez les fleurs?
b. Il est étudiant en chimie.
c. Elles adorent l’opéra.
d. C’est une danse moderne.
e. Ils ont un bébé et un chat.
f. J’ai deux amis.
g. Ils sont sympathiques.
h. Vous avez quel âge ?
i. J’adore les éléphants.
C’est intéressant !
Stopa 15: Poslechněte si text.
Vous êtes bien chez Corinne Desbenoît. Je suis absente pour le moment. Laissez-moi un message
après le bip sonore. Je vous rappellerai.
Salut Corinne, c’est Suzanne. Pour le musée Picasso, c’est d’accord : je viens ! Rendez-vous demain
à 14 heures devant l’entrée, rue de Thorigny.
Stopa 16: Poslechněte si krátké nahrávky.
Bonjour, ma chérie, c’est maman. N’oublie pas, nous avons rendez-vous au salon de thé à cinq
heures. Je t’embrasse.
Salut, Corinne, c’est moi, Henri. C’est d’accord pour le concert de jazz à la Vilette. Alors, à demain,
huit heures devant l’entrée. Je t’aime.
Coucou, c’est Loulou, je suis a l’hôtel de l’Europe. L’expo Mati c’est au Centre Pompidou. C’est une
excellente idée ! Alors à 11 heures à la réception de l’hôtel.
a. Elle habite boulevard Voltaire, à côté du cinéma.
b. La cabine téléphonique est devant l’Hôtel de Ville.
c. Tu viens aussi au théâtre demain ?
d. Ils ont rendez-vous avec Sophie à quatre heures.
e. Vous prenez le bus jusqu’à la place Vendôme.
Pardon Monsieur, pour aller au musée Picasso, s.v.p.?
Le musée Picasso... Attendez... Allez tout droit jusqu’au feu, là tournez à gauche, prenez la rue Vieille
du Temple. Continuez tout droit, prenez la deuxième rue à droite, c’est la rue des Francs-Bourgeois.
Pardon, la rue comment?
La rue des Francs-Bourgeois. Là, vous prenez la première à gauche, vous arrivez place de Thorigny.
Après, vous prenez la rue de Thorigny, le musée Picasso se trouve à gauche.
Merci beaucoup!
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Vous dites tout.
Lucie est russe.
J’écoute la musique.
C’est un début.
Ursule habite à Toul.
Stopa 20: Poslechněte si popis.
Devant la gare, il y a une place. Elle s’appelle, comme c’est original, place de la gare! A côté de la
gare, à gauche sur le plan, se trouve un café. En face de la gare, dans la rue de la Libération, vous
avez l’office du tourisme. Derrière l’office du tourisme, il y a une station de métro. L’hôtel de ville se
trouve en face du parc Louis-Ferdinand Céline. La Poste se trouve dans la rue de la Poste, en face de
l’hôtel. A côté du théâtre, dans la rue de Paris, il y a une banque. Le cinéma se trouve dans l’avenue
du Général de Gaulle, entre le musée et le café.
1. Je voudrais des Gauloises Blondes, s’il vous plaît.
2. Vous avez le Monde d’aujourd’hui ?
3. Deux timbres à 3 francs, s’il vous plaît.
4. Un kilo de tomates et de l’ail, s’il vous plaît.
5. Oui, donnez-moi trois croissants au beurre.
6. Je voudrais changer 500 marks, s’il vous plaît.
7. Vous désirez de l’aspirine vitaminée ?
8. Du champagne en promotion, super ! J’adore le champagne !
9. Deux bières et un Perrier !
Stopa 22: Poslechněte si rozhovory.
Au bar-tabac
Vous avez combien de cartes postales?
Cinq. Donnez-moi aussi cinq timbres à 3 francs.
Désolée, je n’ai plus de timbres.
Ah... Vous vendez des télécartes?
Oui. A combien d’unités: cinquante ou cent vingt?
Cinquante... Et un paquet de Gauloises Blondes, s’il vous plaît.
Voilà.
Euh, excusez-moi... Il y a une pharmacie près d’ici?
Oui, là-bas, au coin de la rue.
Au marché
Bonjour, ma p’tite dame! Qu’est-ce que vous désirez aujourd’hui?
Bonjour! Je voudrais un kilo de tomates, s’il vous plaît.
Et avec ça?
Une livre de courgettes... et deux poivrons.
C’est tout?
Non, donnez-moi aussi du raisin.
Du blanc? Il n’est pas cher! C’est 20 francs le kilo.
Bon, alors, un kilo, s’il vous plaît... C’est tout.
Oh, maman, on prend des bananes?
Bon, si tu veux... Trois bananes alors.
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Voilà.
Ça fait combien?
71 francs.... Tenez, voilà un peu de persil.
Oh, merci! C’est gentil! Au revoir!
Au revoir, Madame! Bonne journée!
Bonjour, Madame ! Vous désirez ?
Je voudrais un kilo de tomates, s’il vous plaît.
Voilà, et avec ça ?
Donnez-moi aussi une livre de clémentines et une salade.
C’est tout ?
Oui, c’est tout.
Ça fait 25 francs.
Voilà, au revoir, Monsieur.
Stopa 24: Poslechněte si krátký rozhovor.
Ça fait combien ?
Un vélo – 1290 francs, un ordinateur – 699 francs, une poupée Barbie – 149 francs, des rollers – 285
francs. Total – 2423 francs.
Stopa 25: Poslechněte si věty.
Le monsieur.
Regardez le monsieur!
Regardez le petit nez de ce monsieur!
Regardez le petit nez et les cheveux bleus de ce monsieur!
regarde
café
deux
marché
secrétaire
monsieur
écoutez !
cheveux
éléphant
Europe
étudiant
préférer
demain
Je vends. Je vends beaucoup. Je vends beaucoup de pommes.
Je fais. Je fais les courses. Je fais les courses au centre commercial.
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Donnez ! Donnez-moi ! Donnez-moi deux baguettes !
J’adore ! J’adore le champagne ! J’adore le champagne en promotion !
Vous allez où?
On va à Marseille.
Comment ça va, Madame Boudin?
Bien, merci. Vous avez des côtelettes de porc?
Je voudrais changer 500 dollars, s’il vous plaît.
Oui. Vous désirez des billets de 50 ou de 100 euros?
Stopa 29: Poslechněte si hlášení.
C’est bientôt Noël ! Vous cherchez des idées de cadeaux ? Venez aux bonnes affaires chez
MINIPRIX ! Un super VTT pour deux cent quatorze euros soixante-quinze. Un dictionnaire classique
pour dix-sept euros quatre-vingt-cinq. Un ordinateur pour mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf euros.
Une télévision couleur pour cinq cent soixante-neuf euros. Un téléphone sans fil pour seulement
soixante-douze euros quarante.
Stopa 30: Poslechněte si hlášení.
Profitez de la semaine Petits prix chez Casino en promotion. Une bouteille de jus d’orange Pampryl, 1
euro 93. Deux tubes de dentifrice Tonigencyl 2 euros 45. Une boîte de trois sachets de puré Mousline
2 euros 37. Un paquet de céréales Plopsies 3 euros 41. Un lot de plaquette de beurre Président 2
euros 59. Trois tablettes de chocolat 2 euros 89.
Stopa 31: Poslechněte si interview.
Vous êtes bien Madame Bigoudi?
Oui, c’est moi.
Qu’est-ce que vous faites dans la vie?
Je suis coiffeuse.
Vous travaillez où?
Je travaille dans un salon de coiffure à Lyon.
A quelle heure commencez-vous le matin?
Je commence à 9 heures.
Comment allez-vous au salon de coiffure?
En bus.
Vous avez combien de clients par jour?
J’ai environ 10 clients par jour.
Vous ne faites pas de sport?
Si, je fais de la gymnastique.
Quand?
Le lundi soir.
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A:
Salon de coiffure Alexandre ouvert tous les jours, le matin de huit heures et demie à midi et l’aprèsmidi de deux heures et demie à sept heures et demie. Le samedi de 9h à 7h. Fermé le lundi.
B:
Office du tourisme de Montpellier ouvert du lundi au vendredi de 9h30 à 17h45 et le samedi de 10h à
12h30.
C:
Cabinet médical du docteur Lemaire ouvert le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 14h45 à 19h.
D:
Club Superforme ouvert tous les soirs, sauf dimanches et jours de fête, de 17h30 à 22h30.
Stopa 33: Poslechněte si telefonickou konverzaci.
Matthieu, c’est pour toi! C’est ta femme!
Allô, Cécile?
Oui. Alors, Matthieu, comment se passe le stage? Raconte un peu!
Ah! Super!... Le matin, on commence par une petite séance de méditation et puis on fait du yoga de
dix heures à midi.
Deux heures! C’est tout?! Qu’est-ce que vous faites l’après-midi?
Nous pouvons choisir entre plusieurs activités. Aujourd’hui, par exemple, je fais de l’aquarelle.
Tiens! Tu sais dessiner maintenant? Depuis quand?
Oh, tu sais, je veux juste essayer... Au fait, dimanche, nous finissons vers quatre heures, quatre
heures et demie. Finalement, je ne prends pas le train. Florence habite aussi à Lyon: je peux rentrer
en voiture avec elle.
Qui est Florence?
Je suis journaliste. J’ai un métier passionant: je voyage beaucoup, mais c’est aussi très fatigant. Alors,
j’ai des problèmes de concentration.
Moi, je travaille à la Poste. Je vends des timbres, des télécartes... Vous savez, c’est pas toujours
passionnant ! Alors, le week-end, je fais du yoga pour me détendre.
Je suis enseignant et travailler avec des enfants, c’est le stress !
Moi, je déteste les sports violents. Je suis dessinatrice industrielle. Le soir, je finis tard et pendant les
vacances, j’ai envie de rencontrer des gens.
Eh bien moi, je fume trop ! Je joue du saxo dans un club de jazz... Je fais du yoga pour rester en
forme.
a. Armand est enseignant en Provence.
b. Le champagne et le camembert? Ça ne va pas ensemble!
c. Les clients attendent devant la banque.
Stopa 36: Poslechněte si nahrávku.
Gaston !
Quand estce qu’on danse ?
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Qu’estce qu’on attend ?
Quand est-ce qu’on commence ?
Comment ?
Pardon ?
Maintenant ?
Sur le pont d’Avignon
On y danse, on y danse
Sur le pont d’Avignon
On y danse tous en rond.
a. Ils sont enseignants dans la région de Bordeaux.
b. Simon et Marion ont deux enfants. Ils ont des prénoms bretons.
c. Ils vont à Lyon en avion.
d. Ils font une promenade à Fontainebleau et cherchent des champignons.
e. Combien coûte le thon?
f. Au Gabon, on parle français.
g. Vous continuez jusqu’au pont.
Aujourd’hui, nous parlons de la langue française dans le monde. Citez-moi des pays où l’on parle
français !
Le Sénégal, le Québec, le Gabon, la Belgique, la Guyane, la Tunisie, le Cameroun, Haïti, le Vietnam,
la Louisiane, la Mauritanie
Stopa 39: Poslechněte si krátký rozhovor.
Quel style de vacances préférez-vous ?
Moi, je préfère les vacances à la campagne: j’aime la calme, la nature... Il n’y a pas de bruit, pas de
touristes. C’est agréable ! Et puis j‘aime bien la cuisine française traditionelle.
1.
Nous louons un châlet dans les Alpes, près de Chamonix. Nous aimons bien la randonnée et nous
avons envie de calme. Il fait trop chaud au bord de la mer au mois d’août.
2.
Nous, on passe toujours les vacances en Corse, en juillet. On a de la chance. Ma famille habite à
Bastia. Louer ou aller à l’hôtel, c’est trop cher pour nous. Les enfants adorent la mer. Moi aussi. On va
tous les jours à la plage.
3.
J’ai une petite maison, une résidence secondaire, comme on dit, dans les Cévennes en pleine nature
–le rêve. J’invite des amis à Pâques ou en été et on reste dans la maison ensemble. C’est formidable !
4.
Moi, je suis marocain. Je suis né à Marrakech. J’habite à Lille depuis dix ans. Il fait trop froid ici. Les
vacances pour moi, c’est le soleil. Et puis, aller voir mes amis là-bas au Maroc.
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Bonjour, Monsieur.
Un instant, s’il vous plaît. Je suis à vous tout de suite. Bon d’accord, au revoir Madame... Qu’est-ce
que je peux faire pour vous?
Je voudrais partir dans un pays où il fait chaud. Qu’est-ce que vous pouvez me proposer en dernière
minute?
J’ai la Tunisie...
Non ! Je connais déjà. Je suis allée à Djerba il y a six mois avec une amie. Nous sommes restées...
Vous êtes déjà allée aux Canaries?
Oh, non ! C’est pas assez exotique!
Exotique, exotique... Ah! Je crois que j’ai quelque chose pour vous! Une offre exceptionnelle: un
séjour d’une semaine en Guadeloupe, vol + hôtel pour 4790 francs.
Il fait vraiment beau en novembre, là-bas?
Evidemment, ce n’est pas l’été, mais les températures sont très agréables: il fait en moyenne 25
degrés. Si ça vous intéresse, réservez tout de suite! Vous avez de la chance: il reste juste une place.
Je prends. Mais au fait, le vol est à quelle heure?
Vous partez de Roissy ce soir à 21h15. Votre nom, s’il vous plaît?
Julie Maugain, M-A-U-G-A-I-N.
Voilà votre billet. Vous payez comment ?
Par carte.
Merci. Au revoir, Mademoiselle, bonnes vacances !
a. italienne
b. africain
c. cliente
d. exotique
e. sportif
f. Martine
g. espagnol
h. allemand
i. Simone
j. française
k. dentiste
l. ouvrier
m. étrangère
n. belge
a. Le cousin d’Alain est musicien.
b. Mon ami américain vient demain matin.
c. Le train pour Quimper est plein.
d. Martin aime bien le vin italien.
e. Je voudrais vingt timbres à 5 francs.
f. Adrien est fonctionnaire européen.
Catherine, connaissez-vous la Provence?
Oui, je suis allée en Provence l’année dernière avec mon copain. Nous sommes partis début juin.
Pourquoi en juin?
C’est le mois idéal pour aller dans le Midi. Il ne fait pas trop chaud. Et puis les champs de lavande
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sont en fleur. Le paysage est vraiment magnifique! Vous savez, ces couleurs qui ont inspiré Cézanne,
Van Gogh...
Alors, qu’est-ce que vous avez visité?
Surtout les petites villes et les vieux villages: Oppède-le-Vieux, Roussillon. Ce sont des villages
charmants! Nous sommes aussi allés à Manosque, la ville de Jean Giono. Et puis, nous avons visité
Avignon, le Palais des Papes. Nous avons vu le pont d’Avignon bien sûr!
Vous n’êtes pas allés sur la côte?
Non, avec mon copain, on préfère l’arrière-pays parce que c’est plus calme: il n’y a pas trop de
touristes! On adore marcher: on a fait des randonnées superbes dans le Lubéron.
Qu’est-ce que vous avez préféré?
Les marchés! Parce que c’est vivant! Les odeurs, les couleurs... Et puis les gens sont tellement
sympa!
Quel type d’hébergement avez-vous choisi?
Nous avons loué un gîte rural près de Manosque. Nous sommes restés là une semaine. Après, on a
fait du camping.
Et pour l’année prochaine, quels sont vos projets?
On retourne en Provence, mais alors en juillet/août! C’est la période des festivals. Je voudrais aller au
festival de musique d’Aix-en-Provence. Vous savez, pour moi la Provence, c’est surtout l’art, l’aspect
culturel.
a. Je choisis du raisin.
b. J’ai fait des randonnées.
c. Je finis en juin.
d. J’ai acheté du pain.
e. Je dis merci.
f. J’ai préféré la poterie.
g. J’ai voyagé en été.
bise
anniversaire
français
paysage
sport
merci
poisson
décembre
Suzanne
attention
douze
alsacien
anglaise
zéro
descendre
a. Françoise fait seize bises à Basile.
b. Quel plaisir, les baisers du cousin suisse!
c. Ils aiment la cuisine alsacienne.
d. L’exposition Cézanne commence le quinze décembre au musée d’Orsay.
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e. Des zèbres dans le désert? Bizarre!
a. C’est un beau désert.
b. Elles sont douces.
c. Mon petit cousin.
d. Six cents.
e. Deux sœurs calmes.
f. Ils s’aiment.
g. C’est du poisson.
Stopa 49: Poslechněte si vyprávění.
Anne: Moi, je suis bretonne : je viens de Rennes. C’est mon mari qui est parisien... Alors, par amour
pour lui, j’ai quitté la Bretagne. Il y a dix ans déjà ! Et oui, le temps passe !
Jacques : Moi, je viens d’Ajaccio. Je suis corse comme Napoléon... Je suis monté à Paris pour mon
travail, pendant les vacances, je rentre chez moi et, à la retraite, dans trois ans, je quitte l’Ile de
France pour toujours et... sans regrets, vous pouvez me croire !
Pierre: Moi, je suis né à Paris... Je suis un vrai Parisien et fier de l’être ! Paris, c’est la plus belle ville
de France, du monde peut-être ! Et puis, du point de vue professionnel, il y a tout à Paris !
Dominique: A mon accent, on reconnaît tout de suite que je ne suis pas originaire de la région
parisienne ! Non, je viens de Strasbourg... J’ai quitté l’Alsace pour des raisons professionnelles: je
suis fonctionnaire et pour mon premier poste, j’ai été nommée ici. Mais, je viens d’obtenir ma mutation
et, en septembre, je retourne à Strasbourg !
Manuel: Ma famille vient du Pays Basque. Personnellement, je suis né à Biarritz. Mais, mon père est
militaire de carrière, alors on bouge beaucoup : trois ans ici, trois ans là... On rentre à Biarritz pour les
vacances.
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Mireille: Moi, je suis du Midi. J’ai quitté Avignon il y a vingt ans pour venir finir mes études à Paris...
Puis, j’ai trouvé du travail, j’ai rencontré mon mari, les enfants sont arrivés et je suis restée. Ma vie,
c’est plutôt la région parisienne maintenant. Mais, je suis toujours très heureuse de retourner en
Provence. Je crois que ce qui me manque le plus, c’est le soleil car le climat parisien, entre nous, c’est
pas génial !
Alsace
Week-end en montgolfière pour survoler la plaine d’Alsace et les grands vignobles. 2 jours avec visite
de Strasbourg, balade sur l’Ille et hébergement: 820 euros pour 2 personnes
Provence - Alpes - Côte d’Azur
Une rando-parapente qui survole les alpages de Saint-Véran et fait le tour des sites du massif. 6 jours:
430 euros.
Bretagne
Le cheval et la mer, un très beau thème pour cette randonnée par les plages et des chemins côtiers.
Du 12 juillet au 14 septembre. 7 jours: 455 euros en pension complète.
Corse
Randonnée à vélo facile et sans portage sur 280 kilomètres de calanques, corniches, falaises et bords
de mer. Etapes journalières de 40 kilomètres environ à organiser au gré de l’itinéraire. 8 jours 395
euros. Location de vélo: 60 euros.
Languedoc - Roussillon
Croisières sur le canal du Midi. D’Agde à Carcassonne. A partir de 445 euros la semaine pour un
bateau de 2 personnes.
Midi - Pyrenées
Au départ d’un petit hôtel de montagne, des randonnées photographiques sont organisées en étoile.
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Un guide de montagne vous accompagne. 1 semaine: 510 euros.
Monsieur, s’il vous plaît !
Messieurs-Dames, vous avez choisi ?
Oui, alors deux menus à 120 francs, s’il vous plaît.
Qu’est-ce que vous prenez comme hors-d’œuvre ?
Pour moi des huîtres... Et toi, Michèle ?
Moi, j’ai envie d’une omelette aux truffes.
Bon alors, des huîtres et une omelette...Ensuite, comme plat principal ?
Je prends un gigot d’agneau.
Je préfère du poisson. D’ailleurs, il est délicieux ici... Un saumon à l’oseille.
Et comme boisson ?
Du vin blanc avec le poisson, un Chablis.
Pour moi, une carafe d’eau.
Vous désirez un dessert ?
Oui, on a déjà choisi. Un sorbet au citron et une tarte Tatin.
Vous prenez des cafés ?
Oui, deux cafés et l’addition, s’il vous plaît.
Stopa 62: Poslechněte si rozhovory.
Allô?
Allô, Michèle? C’est Juliette!
Ah, Juliette! Déjà rentrée? Alors, ces vacances? Raconte!
Génial! J’ai fait des tas de photos! Tu veux les voir?
Bien sûr! Qu’est-ce que tu fais ce week-end? On pourrait aller au restaurant!
D’accord! Mais où?
On peut aller à La bonne fourchette. Tu sais, ce resto où je vais souvent avec Jacques. J’adore cet
endroit!
Non, je ne vois pas...
Mais si! Là, où on a fêté les trente ans de Jacques, avec Frédéric et Charlotte!
Ah, oui! ... Mais cette fois, on y va sans eux!
Je téléphone pour réserver...
A la bonne fourchette, j’écoute?
Bonsoir, je voudrais réserver une table pour samedi soir...
Oui, pour combien de personnes?
Deux.
Un instant, s’il vous plaît... Samedi soir, c’est possible! Cette table, vous la voulez pour quelle heure?
Huit heures et demie?
Pas de problème. C’est à quel nom?
Jacquemin. J. A. C. Q. U. E. M. I. N.
Très bien, Madame Jacquemin, c’est noté!
Merci, au revoir!
Au revoir, Madame.
Regarde, voilà Gérard. Je travaille avec lui maintenant.
Et la blonde, à côté de lui, c’est sa femme?
Oui, il ne sort jamais sans elle. C’est beau, l’amour!
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Et cet horrible chien, c’est à eux?
C’est possible... Tu n’as pas faim, toi?
Si! On rentre chez moi?
Attends, on pourrait passer chez Claire et Juliette et aller manger une pizza avec elles, non?
Pour moi, pas de pizza, je suis au régime!
D’accord, une pizza pour moi et pour toi, une salade!
girafe
choisir
bijou
château
chéri
Georges
architecte
journal
étranger
voyage
chercher
charme
juin
Cher Jacques,
Le voyage est charmant et les gens sont très gentils. On mange beaucoup de chou, mais pas de
singe! Charlotte a acheté une broche en forme de chat et Jean un chapeau chinois pour marcher.
Il a toujours chaud !
Chéri, achète du champagne pour jeudi !
Bon séjour à Chartres. Bises de Chine.
Géraldine
Benoît Legoedec (29 ans) exerce une activité professionnelle en principe réservée au sexe féminin. Il
travaille comme sage-femme dans un hôpital de la région parisienne. Pour être correct, il faut le
nommer homme sage-femme ou sage-femme homme, car le terme sage-homme n’existe pas dans le
dictionnaire. Jusqu’en 1982, seules les femmes pouvaient exercer cette profession. Depuis quelques
années, des messieurs se sont lancés dans l’aventure. Benoît, marié, père d’une fillette de 15 mois,
est une exception. Il est le seul sage-femme homme de la maternité de l’hôpital Antoine-Béclère, à
Clamart.
Pour moi, le fait d’être un homme ne change rien à l’affaire. Bien sûr, quand une infirmière dit à une
patiente je vais chercher la sage-femme et que j’arrive, cela surprend. Je suis un homme, mais j’ai les
mêmes gestes qu’une femme sage-femme. Au début, j’ai eu quelques petits problèmes, surtout quand
je me suis adressé à des médecins du privé, mais à l’hôpital, j’ai tout de suite été très bien accepté.
Exercer cette profession me permet d’avoir une place à part.
Une place que Benoît a refusé d’occuper une seule fois, le jour de la naissance de sa fille.
Ce jour-là, je n’ai pas été sage-femme, mais mari et papa....
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Regarde, Petra! Je viens de recevoir une réponse de SG 2 Strasbourg...
Alors?
Je dois prendre rendez-vous pour un entretien d’embauche à Strasbourg, la semaine prochaine.
Enfin une réponse positive! Tu vas voir, je suis sûre que ça va marcher!
Du calme... Ce job, je ne l’ai pas encore...! Et puis, j’attends toujours une réponse de Bull à Paris...
Tu sais bien que, moi, je préfère Strasbourg... Mes parents vont être contents: ils adorent leurs petitsenfants et ils ne les voient jamais!
C’est vrai... Mais, si on va à Strasbourg, il va falloir vendre la maison, changer les enfants d’école...
Oh, arrête! Tu ne vois que des problèmes...
Patrick: Moi, je vais chercher du travail, je vais me marier...
Brigitte: Je vais commencer des études d’architecture, je vais travailler avec mon père.
Sophie: Je vais faire un voyage avec Bertrand. On va aller en Amérique du Sud.
Didier: Je vais faire du judo plus souvent.
1. pain
2. boire
3. port
4. père
5. bière
6. pont
7. blond
8. puce
9. bus
10. bise
Stopa 70: Poslechněte si říkanku.
Dans le port du Tréport
A bord d’un paquebot
Qui part pour Panama
On peut voir sur le pont
Des pépés bien barbus
Des bébés, des bambins
Et des papas perplexes
Perdus dans leurs pensées
De belles brunes en bleu
Et de beaux blonds bronzés
Et mon copain Benoît
Avec sa pipe en bois
Moi, je pense que l’appartement est trop petit pour nous cinq.
C’est vrai, mais il est au centre ville.
Le problème avec le centre ville, c’est le bruit! Le soir, après une journée de travail, j’aime le calme.
C’est sûr, la campagne, c’est calme. Mais, pour faire les courses et emmener les enfants à l’école, il
faut prendre la voiture.
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D’accord, l’école est loin... Mais, ils peuvent jouer dans le jardin. Je trouve que c’est important...
Bien sûr, l’appartement en ville est à louer; mais la maison, il faut l’acheter... et la restaurer.
a. Un pain chaud.
b. Des poules blanches.
c. Pierre, apporte des bières!
d. On va à Porto.
e. Quel beau bébé blond!
f. Zut! J’ai oublié les poissons!
Stopa 73: Poslechněte si telefonické konverzace.
1.
Oui, allô?
Salut, Martine! C’est Sophie. Tu as envie d’aller au cinéma voir le dernier film de Tavernier?
Oui, pourquoi pas ? Le film est à quelle heure?
A huit heures et demie. Tu passez chez moi?
D’accord.
2.
Oui, j’écoute?
Bonsoir, c’est Mme Chavernac à l’appareil.
Ah! Quelle surprise! Comment ça va?
Très bien, merci. Vous prenez l’apéritif, samedi soir?
Non, je suis désolée, mais nous passons le week-end à Chartres, chez ma fille.
C’est dommage! Alors, bon week-end!
Merci, à bientôt!
3.
Allô?
Salut, Bruno. Dis, tu es libre dimanche matin?
Oui, je pense.
Tu es d’accord pour une partie de tennis?
Volontiers. Il fait un temps magnifique en ce moment!
J’ai réservé le court pour 11 heures, ça va?
D’accord! A dimanche au club.
4.
Oui?
Bonjour, maman! On va manger au restaurant japonais ce soir, tu viens avec nous?
C’est gentil, mais, ce soir, je ne peux pas. J’attends un coup de téléphone de ton père et puis... tu
sais, moi, la cuisine asiatique...
Allez... Viens!...
Non, non, pas ce soir.
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Francouzština FACETTES středně pokročilí
Oh, excusez-moi ! ... Mais on se connaît ? !
Ah, Matthieu ! Quelle surprise ! Qu’est-ce que tu deviens ?
Bof, toujours prof à Lyon... Et bien, tu vois, là, avec une collègue, j’accompagne des élèves en classe
de neige près de Grenoble. Et toi ?
Moi aussi, je vais à Grenoble. Je m’occupe d’un projet d’urbanisme. Et puis, je vais me marier.
Tu vas te marier ? Ça, c’est une bonne nouvelle ! ... Euh, tu fais toujours du yoga ?
En ce moment, j’ai autre chose à faire ! Tu sais, Denis et moi, on s’installe à Grenoble le mois
prochain. Avec le déménagement, on n’a pas le temps de s’ennuyer.
Vous vous installez à Grenoble ?
Oui, tu sais, Denis est né là-bas. Et puis, il est très attaché à son boulot. Et moi, je m’adapte... Et toi ?
Raconte...
Rien de spécial... Je reste une semaine à Chamrousse. Je peux me libérer un soir... Si tu veux, on se
fait un resto...
Pourquoi pas. Je suis à l’hôtel de Savoie. On s’appelle !
Matthieu, dépêche-toi, on arrive dans cinq minutes !
Je me lève à 7 heures. Je prends une douche et je me prépare une tasse de café. A 8 heures, je pars
en voiture. Je mets une demi-heure environ pour aller jusqu’au magasin. Je n’ouvre pas tout de suite,
mais à 9 heures. D’abord, je vais prendre un autre café et lire le journal au bar du coin. En général, je
ferme entre 1 et 3 heures. Je déjeune dans un snack et m’installe ensuite dans l’arrière-boutique pour
me reposer un peu. L’après-midi, Ariane, mon employée, s’occupe du magasin. Moi, je restaure des
meubles anciens dans l’arrière-boutique. C’est une vraie passion. Je rentre chez moi vers 19 heures.
Je dîne devant la télé ou chez mes parents. Je n’aime pas sortir seul. Mais je vais bientôt me marier et
tout va changer !
vendredi
côtelette
samedi
enterprise
partenaire
s’appeler
Bretagne
premier
promenade
allemand
Marguerite
acheter
Je m’appelle René Lavie, j’ai 42 ans, je suis marié, père de deux enfants et je travaille chez Alcatel à
Hongkong. Je gagne à peu près le même salaire qu’en France ici. Vivre à Hongkong est passionnant
mais aussi très stressant. Je n’ai pas d’horaires : le matin, je pars à huit heures, je mange un
sandwich au bureau à midi et le soir, je ne suis jamais à la maison avant neuf heures du soir parce
que j’ai beaucoup de responsabilités au sein de l’entreprise. Mais, je ne regrette vraiment pas d’avoir
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quitté Paris.
Moi, c’est Philippe… Philippe Bonnard. Je viens de Montpellier. J’ai fait des études d’ingénieur
agronome et après mon diplôme en 1991, j’ai décidé de partir un an au Sénégal. Un an ! Aujourd’hui,
quatre ans après, je suis toujours là ! Un soir à Dakar, je suis allé au théâtre. Il faut dire que j’adore le
théâtre : à Montpellier, j’ai même suivi des cours au conservatoire. J’ai fait très vite la connaissance du
directeur de la troupe et un beau jour il m’a demandé : Tu n’as pas envie de jouer avec nous ? Je
cherche justement un blanc pour un rôle de gouverneur. Et voilà, j’ai dit oui et depuis j’ai même tourné
un film pour la télévision sénégalaise !
Elle est un peu la maman des top models Cindy Crawford, Naomi Campbell ou Linda Evangelista.
Elle, c’est Micheline Mallet, originaire de Nice et présidente de l’agence de mannequins Elite New
York. Elle vit aux Etats-Unis depuis quarante-quatre ans et n’a toujours pas perdu son accent du Midi,
ni le souvenir du salon de coiffure de sa maman, avenue du Maréchal-Joffre à Nice. Elle est arrivée à
New York à quinze ans avec sa mère, remariée avec un Américain. Elle a commencé à travailler dans
un salon de coiffure, très vite elle est devenue la directrice de ce salon avant d’aller travailler pour une
agence de mannequins. Et depuis 1977, sa vie c’est l’agence Elite qui lui a apporté la gloire. Mon
bonheur, dit Micheline, c’est de prendre une fille inconnue et d’en faire un mannequin connu dans le
monde entier !
Au fait, tu as reçu des réponses à ta petite annonce ?
28, tu te rends compte !
Autant de réponses dès la première semaine ! Quel succès ! Et sur les 28, tu as trouvé l’homme de
tes rêves ?
Peut-être... Regarde ces deux-là, ils ont l’air sympa, non ?
Tiens, le blond, il ressemble à mon ancien copain, mais en plus jeune. Il a aussi les yeux bleus et il a
exactement le même sourire que lui...
Espérons qu’il a meilleur caractère... En tout cas, sa lettre m’a plu, c’est la plus drôle ! Il a vraiment
beaucoup d’humour : on ne doit pas s’ennuyer avec lui...
Et l’autre avec les lunettes, fais voir ! Il fait plus sérieux, moins dynamique... Et lui, qu’est-ce qu’il
raconte dans sa lettre ?
Tu es bien curieuse, dis-moi… Tiens-toi bien, il travaille pour le Magazine littéraire et il habite… à
Biarritz !
Ah, évidemment, c’est un atout ! Mais moi, je ne le trouve pas aussi séduissant…
Visiblement, on n’a pas le mêmes goûts ! En tout cas, moi, je n’arrive pas à me décider. Entre les
deux, mon cœur balance !
Et bien, tu commences par les contacter, tu les rencontres et tu fais ton choix…
a. Tu connais mon prof de gym ? C’est une jeune femme rousse avec de jolis yeux verts.
b. Nous avons acheté une grosse voiture économique.
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c. J’adore ce petit village avec ses vieilles maisons traditionnelles et sa place centrale.
d. Nous avons trouvé une bonne brasserie alsacienne au centre de Colmar.
e. Au musée des Beaux-Arts, il y a de belles peintures italiennes du XVIIIème siècle.
f. Je n’ai pas encore vu son nouvel appartement parisien .
Le timide Aristide
Le tendre amant d’Armande
Invite la blonde Edith
La grande artiste flamande
A dîner chez Edmonde
Derrière la Rotonde.
Marion est divorcée, elle a 42 ans, deux filles à élever seule. Comment rencontrer l’homme de sa vie ?
Elle ne va plus au bal où se forment 12 % des couples. Elle a quitté depuis longtemps l’université et
déserté les fêtes entre amis à l’origine de seulement 9 % des rencontres. Du sport, elle n’en pratique
plus. Elle ne met plus les pieds dans les discothèques favorisant 4 % des mariages. Il y a aussi
l’entreprise où débutent 12 % des relations, ou bien encore les lieux publics (13 %). Mais Marion est
timide. Elle ne sait plus comment aborder un homme qui lui plaît. Je me vois mal demander : Vous
avez du feu ? Et pourquoi pas Vous habitez chez vos parents ? Ou T’as d’beaux yeux, tu sais ! ? Alors
Marion a essayé les petites annonces et le Minitel. D’après les statistiques, les petites annonces et le
Minitel sont à l’origine d’un mariage sur cent seulement et pour Marion, les résultats n’ont pas été
fameux. Elle a rencontré un psychiatre à problèmes, des hommes mariés qui cherchaient une
aventure d’été… mais aussi un homme à col roulé et fumant la pipe qu’elle a trouvé rassurant. Elle a
vécu avec lui quelque temps avant de le quitter. Et puis, un matin au bureau, elle demande à son
collègue Comment allez-vous ? Et là, elle constate qu’il ne va pas bien du tout : sa femme vient de le
quitter. Cet homme charmant est resté libre une journée ! Depuis trois ans, Marion et lui sont très
heureux !
Madame, vous êtes la gérante de cette maison de la presse. Quelles sont les publications que vous
vendez le plus ?
Oh, vous savez, je vends un peu de tout. Mais d’une façon générale, on peut dire que ces dernières
années, je vends plus de magazines.
Quel genre de magazines ?
Des magazines d’information par exemple : des hebdomadaires comme L’Express, Le Point, le
Nouvel Observateur ou l’Evénement du Jeudi : les gens n’ont pas le temps de lire un journal tous les
jours. Les magazines féminins ou de loisirs se vendent très bien aussi. La moitié de ma clientèle
achète régulièrement un quotidien…
Vous vendez beaucoup de livres ?
Oui, ça marche bien. Les clients sont contents de pouvoir acheter le Prix Goncourt sans devoir aller
dans une vraie librairie. Je vends aussi beaucoup de romans policiers : quand on passe tous les jours
deux heures dans les transports, on a le temps de lire un polar !
D’après les statistiques, les femmes lisent plus que les hommes. Qu’en pensez-vous ?
Elles achètent beaucoup de romans, c’est vrai.
Pensez-vous que le multimédia menace le livre ?
Pas vraiment. Un exemple : mon plus gros succès en ce moment est un guide pratique : Internet pour
les nuls !
Madame, je vois que vous venez d’acheter le dernier Goncourt…
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Oui, je fais partie des gros lecteurs comme on dit, j’adore les romans et j’achète presque tous les prix
littéraires.
Monsieur, vous achetez L’Equipe régulièrement ?
Je l’achète tous les jours, mon bon Monsieur. Le sport, c’est ma vie ! J’ai une demi-heure de métro
pour aller travailler, j’ai le temps de lire mon journal. Et puis, comme ça, avec les collègues, à la pause
de midi, on peut commenter les derniers résultats du Paris-Saint-Germain ou de l’OM !
Excusez-moi, Monsieur, vous êtes en train de feuilleter Géo. Vous aimez ce magazine ?
Et comment ! Je l’achète tous les mois ! Ça me donne des idées pour préparer mes vacances. Et puis
les photos sont d’une excellente qualité !
a. Chez moi, pas question de regarder l’foot à la télé. Ma femme déteste ça. Au bistro, c’est plus
sympa ! J’retrouve les copains, on commente les matchs et on rigole bien.
b. Pour moi, le café c’est avant tout un lieu de rencontre, un endroit pour discuter de tout et de rien,
pour passer un moment agréable.
c. Vous savez, à mon âge, aller au café, ça fait partie de ma vie. Je suis, comme on dit, un pilier de
bistro. J’y vais au moins 2 fois par semaine pour jouer aux cartes. Chez moi, je m’ennuie.
d. Vous allez trouver que je suis un type un peu bizarre, mais je n’me sens bien qu’au milieu du bruit.
J’adore lire dans un café ou j’y corrige mes copies. Chez moi, je n’peux pas m’concentrer.
e. J’aime bien m’installer à la terrasse d’un café pour boire quelque chose. Ça détend. Mais c’que
j’préfère, c’est regarder les gens passer.
f. Moi, j’y vais tous les dimanches avant midi pour jouer au tiercé. Et j’espère bien gagner un jour !
Stopa 13: Poslechněte si vyprávění různých osob.
a. Ma première année d’école, c’était en 1968. Là, c’est ma meilleure copine. Elle s’appelait Hélène.
b. Et regardez cette photo ! Je l’adore ! C’est Cannelle, mon premier chat. J’avais 9 ans. J’étais dans
le jardin de ma grand-mère.
c. Là, c’étaient mes premières vacances au ski… en 1955, dans les Alpes. Il faisait froid et je n’aimais
pas la neige.
d. Ah ! Mon premier amour ! J’avais dix-sept ans… On était amoureux, on voulait se marier…
e. C’était en 1972. A droite, c’est moi… avec le maillot bleu, à côté de la 2 CV : je venais de passer
mon permis de conduire.
f. C’est mon fils, Victor. Il avait trois ans. C’était en Bretagne.
Stopa 14: Poslechněte si vyprávění různých osob.
Je travaillais dans un cinéma à Biarritz, il s’appelait le Vox. J’étais ouvreuse. Mon travail consistait à
ramasser les billets à l’entrée et à placer les gens. A cette époque, les places étaient numérotées. Les
gens étaient généreux et me donnaient toujours un pourboire. J’aimais bien mon travail et je pouvais
voir tous les films gratuitement. Aujourd’hui, le Vox n’existe plus.
J’habitais à Port-Vendres, près de Perpignan. C’était un petit port de pêche. J’avais un chalutier, un
bateau de pêche, il s’appelait le Marie-Galante. A l’époque, on était tous pêcheurs. On travaillait dur !
Quelquefois, on partait en mer sans savoir si on allait revenir. Mais quand la mer était belle, c’était un
vrai bonheur. Maintenant, avec toute cette pollution, il n’y a presque plus de poisson.
Mon mari et moi, on était tous les deux concierges dans un bel immeuble du 16ème. Je m’occupais du
courrier, du ménage. J’étais toute la journée dans ma loge au rez-de-chaussée. Mon mari, lui, faisait
les petits travaux de réparation et s’occupait du jardin.
22
J’étais facteur dans les Cévennes, en pleine campagne. Je partais le matin très tôt, sur mon vélo et je
distribuais le courrier dans les fermes des environs. Quelques fermes étaient très isolées et c’était une
vraie aventure pour y aller ! En hiver, quand il y avait de la neige, pas question de prendre son vélo !
Je portais le courrier à skis de fond !
quai
soirée
problème
étranger
fête
j’allais
aller
beige
miel
terre
nez
violette
cher
chéri
été
C’était hier ou presque. Il y a trente ou quarante ans. Pour la majorité des Français, le confort était un
rêve : un sur cinq n’avait pas l’eau courante, les WC étaient à l’étage et la concierge dans l’escalier.
La salle de bains était un privilège tout comme le réfrigérateur. On attendait dix-huit mois avant d’avoir
le téléphone. Dans la rue, les femmes, quand elles ne portaient pas un pantalon pattes d’éph’,
commençaient à montrer leurs jambes : la minijupe venait de franchir la Manche ! On la portait sur les
tout premiers collants DIM. C’était l’époque où moins de 20 % des Français partaient en vacances.
Les skis étaient en bois et la neige plus froide qu’aujourd’hui mais c’était quand même beau ! D’une
façon générale, les gens paraissaient plus gais, plus optimistes…
Je suis née à Bayonne en 1969. Mon père était technicien, il travaillait dans une fonderie, ma mère
était professeur au collège. Chez nous, il y avait des livres partout, de Tolstoï au dernier best-seller.
J’ai donc lu tout et n’importe quoi. J’habitais dans les faubourgs de Bayonne, qui, dans les années 70,
étaient à la campagne. C’était un village de 150 habitants au milieu des champs. On tuait encore le
cochon. Ma mère faisait elle-même ses pâtés, son saucisson. Quelle odeur ! Très tôt, j’ai su que je ne
voulais pas vivre à la campagne. Je voulais être écrivain. Alors, je suis entrée à Normale Sup parce
qu’on logeait en plein Paris, on étudiait les lettres et on pouvait écrire. Je voulais raconter des
histoires. J’ai écrit mon premier roman à l’âge de 6 ans sur un cahier d’écolier et c’est mon père qui l’a
illustré. C’est à Normale Sup que je suis devenue écrivain. J’avais du temps libre et j’ai pu écrire 4
romans en 4 ans. Et puis, j’ai écrit Truismes. Je l’ai envoyé par la poste à plusieurs éditeurs et ça a
marché…
Et maintenant, dans le cadre de notre émission Ils ont changé de vie, Monsieur Jean Charron, éleveur
de chèvres à Joyeuse. Monsieur Charron, bonjour ! Vous étiez cadre administratif chez Air France et
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maintenant vous faites un des meilleurs fromages de chèvre de la région. Pourquoi ?
Je m’ennuyais. J’habitais dans la région parisienne et la nature me manquait. Je passais toutes mes
vacances en Normandie, qui est la région d’origine de ma femme.
Pourquoi avez-vous choisi de vous installer en Ardèche ?
Je suis né ici, ma famille a toujours habité dans la région.
Comment avez-vous appris à faire du fromage de chèvre ?
Eh bien, un jour, j’ai fait la connaissance d’un éleveur de chèvres. C’est lui qui m’a appris à faire du
fromage et je suis tombé amoureux de ces animaux et de cette vie au grand air. Alors en 1987, je me
suis lancé dans l’aventure : j’ai repris une ferme. Au début, c’était dur, bien sûr, mais toute ma famille
m’a aidé et aujourd’hui avec ma femme, on est heureux comme des rois !
Et voilà, c’était le mot de la fin. Je vous remercie. Chers auditeurs, à demain !
a. Quelle classe !
b. Il a un drôle de goût !
c. Vous partez quand pour Caen ?
d. C’est un gars compliqué.
e. Le Gard n’est pas loin.
f. On achète des cadeaux ?
g. Il écrit.
h. Elle gâche son argent.
a. Gaspard vient de Gap.
b. Il prend le car pour aller à la gare.
c. Le car est à une heure et quart.
d. J’ai acheté des gants à Caen.
e. Il est antiquaire au Caire.
f. Tu as goûté au grog ?
g. Pour mon bac, j’ai eu une belle bague.
h. Il mange une glace en classe !
Bonjour Madame, asseyez-vous... Mais, on se connaît, non ?
Catherine ! Ça alors, quelle surprise !
Hélène ! Ça oui alors, pour une surprise, c’est une surprise ! Qu’est-ce que tu deviens ?
Je suis responsable export dans une entreprise qui vend du matériel de bureau. Et toi ?
Tu te souviens de Gérard qui était avec moi en faculté de médecine ?
Oui, oui, bien sûr. Je me souviens parfaitement de lui.
Eh bien, après nos études, nous avons décidé d’ouvrir ensemble ce cabinet de gynécologie. Un an
plus tard, il n’était plus seulement mon associé mais aussi mon mari !
Vous vous êtes mariés ? Quelle bonne nouvelle ! Et vous avez des enfants ?
Pas encore ! Mais toi ? La dernière fois, ton cœur balançait entre deux jeunes hommes charmants. Tu
t’es décidée pour qui finalement ?
Pour l’informaticien. Nous sommes mariés depuis deux ans maintenant et pour ce qui est des enfants,
c’est pour cette raison que je suis ici !
24
Chère Hélène,
Il neige à Genève. Quelle tristesse !
Hier, je suis allée voir la première de Molière avec des collègues. La salle était pleine et la pièce très
intéressante. C’est bientôt la fête de Marcelle. Je lui ai acheté une théière en porcelaine. Elle en rêve
depuis des années. Je vais faire des crêpes. Evidemment, vous êtes invités, toi et René. Au fait,
j’espère qu’il a passé un bel été dans les Pyrénées avec son frère.
Je t’appelle samedi après-midi.
Geneviève
1.
Alors, tu es prête ? On va arriver en retard ! Mais qu’est-ce que tu fais ? Il te faut toujours deux heures
pour te préparer !
Oh, tu m’énerves. J’ai travaillé toute la journée et puis ta mère est passée chercher les enfants. Tu
sais bien qu’elle a toujours mille choses à raconter.
2.
Tu as vu l’heure ? C’est à cette heure-ci que tu rentres ?
Et alors, il est minuit ! Il n’est pas trois heures du matin ! Et puis zut ! A dix-huit ans, j’ai quand même
le droit de rentrer quand j’en ai envie.
Ne me parle pas sur ce ton !
3.
Ecoutez, Monsieur Lejeune, vous ne trouvez pas que vous exagérez un peu ? Ça fait trois jours que
j’attends ce rapport sur…
Je suis vraiment désolé, Monsieur le Directeur, mais il a fallu beaucoup de temps pour le préparer et
puis, je n’avais pas tous les documents nécessaires sous la main…
Bon, bon. Débrouillez-vous comme vous voulez, mais il me le faut absolument demain matin à huit
heures sur mon bureau.
4.
J’en ai marre ! Ça fait trois quarts d’heure que je t’attends dans ce bistro. C’est toujours la même
chose ! Tu n’es pas capable d’arriver à l’heure ! Tu pourrais au moins téléphoner !
Ce n’est pas de ma faute. Il y avait un embouteillage Place d’Italie et …
Oui, oui, toujours les mêmes excuses. Je n’y crois plus à tes histoires d’embouteillage. La prochaine
fois, j’attends cinq minutes, pas plus !
Tu as vu le relevé de compte que la banque vient de nous envoyer ? Nous voilà encore à découvert !
Franchement, tu exagères !
Tu sais bien que c’était la rentrée. Il y a eu les fournitures scolaires, les cartables... Les enfants en
avaient vraiment besoin. Sans parler du reste... Evidemment, tu ne t’occupes jamais de ce genre
d’achats et tu n’as plus la notion des prix.
Justement, parlons-en ! Pourquoi est-ce que tu ne prends pas le temps de comparer avant d’acheter ?
Tu jettes notre argent par les fenêtres... Enfin, tout ça n’explique pas le découvert.
J’en ai marre de tes reproches. Après tout, j’ai bien le droit de me faire plaisir de temps en temps. Toi,
quand il s’agit de la voiture, tu n’es pas aussi regardant...
Alors, dis-moi, tu as craqué sur quoi ?
Tu te souviens des bijoux anciens qui étaient exposés à la salle des ventes ? Eh bien, j’y suis
retournée avec Claude et je n’ai pas pu résister.
Cette petite plaisanterie t’a coûté combien ?
Ça ne t’intéresse pas de savoir ce que c’est ?
Des boucles d’oreille comme d’habitude.
Eh bien non, tu te trompes. Cette fois-ci, je me suis offert un petit collier. Tu veux le voir ?
Combien ?
A peine 3000. Claude en a acheté un beaucoup plus cher. J’ai même été obligée de lui prêter de
l’argent… Pour un collier, 3 mille francs c’est encore raisonnable.
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Bon, allez, montre… Tu vas le mettre au moins?
a. Matthieu est masseur dans la Creuse.
b. C’est merveilleux ! Tous mes vœux de bonheur !
c. Malheureusement, je ne peux pas déjeuner avec eux jeudi.
d. La Peugeot de ma sœur a de vieux pneus. C’est dangereux !
e. Les œufs avec un peu de beurre, c’est bien meilleur
a. Il est deux heures.
b. C’est un jeune chômeur.
c. C’est un vieux monsieur.
d. J’ai un peu peur.
e. J’aime les fleurs bleues.
f. Il a un meilleur jeu.
g. J’ai horreur du beurre !
h. Voilà deux œufs.
J’ai vu dix-neuf bœufs
Avec des yeux bleus
A la queue leu leu
Brouter des choux-fleurs
Sur l’île d’Yeu en fleurs.
Et un jeune empereur
Au milieu des bœufs,
Soucieux, amoureux.
Le malheureux pleure
Sa belle qui se meurt.
Stopa 28: Poslechněte si texty.
1.
Gérard Depardieu est un boulimique des tournages et peut prétendre à des cachets de 10 millions de
francs. A l’heure actuelle, il est en train de tourner Asterix et Obélix sous la direction de Claude Zidi,
un film qui va lui rapporter 6,3 millions de francs. Pour le rôle du comte de Monte-Cristo à la télévision,
il va toucher 8 millions de francs sans compter la publicité pour les pâtes Barilla et la
commercialisation de son vin. En effet, Depardieu n’est pas seulement un acteur de grand talent, mais
aussi un homme d’affaires.
2.
Le rôle de Pauline dans Le hussard sur le toit a rapporté 3,1 millions de francs à Juliette Binoche.
Depuis son Oscar de la meilleure actrice, elle peut prétendre à des cachets de 5 à 6 millions de
francs. Mais Juliette Binoche reste actrice avant tout et si un rôle lui plaît, elle accepte parfaitement de
ne gagner que 2200 francs par semaine.
3.
Depuis La boum en 1980 –elle a alors 14 ans –,les Français adorent Sophie Marceau. Même si les
deux films qu’elle a tournés en 1997 –Anna Karénine et Marquise –n’ont pas très bien marché, elle
peut prétendre à des cachets de 2,7 millions de francs par film. Sans oublier la publicité pour Guerlain
26
qui lui rapporte 8 millions de francs.
4.
Le cinquième élément de Luc Besson a apporté la gloire à Jean Reno qui est par ailleurs l’une des
rares stars françaises à mener également une carrière aux Etats- Unis où ses cachets peuvent
atteindre jusqu’à un million de dollars. On le voit actuellement dans Les visiteurs 2, film qui va lui
rapporter entre 5 et 6 millions de francs. Il négocie seul ses contrats.
Je vis seule depuis 15 ans. J’ai une retraite de 3200 F par mois. Mon petit chien va avoir 13 ans et il
est souvent malade. Il a besoin de soins qui me coûtent cher ! Croyez-vous que je pourrais en plus
payer une taxe ?
Je suis pour un impôt chien car le nettoyage des trottoirs en ville coûte cher. Il n’est pas normal que
les personnes qui n’ont pas d’animaux paient pour celles qui en ont. Et puis, à Paris, avoir un chien
est un snobisme et une mode. Ces pauvres animaux sont souvent enfermés toute la journée dans un
appartement.
Une taxe est nécessaire pour responsabiliser les propriétaires. On ne prend pas un chien comme on
achète des légumes au marché ! Et peut-être que si cette taxe existait, il y aurait moins de chiens
abandonnés.
J’ai quatre chats et une chienne et je les adore. Je ne compte plus ce qu’ils me coûtent à l’année :
vétérinaire, nourriture, etc. Je trouve injuste de pénaliser les personnes qui aiment leur compagnon.
a. C’est vraiment fou !
b. Si on faisait un vœu ?
c. C’est bien frais.
d. Cette jupe est vendue.
e. Il a acheté un veau !
f. Quelle fin fantastique !
g. Il a plusieurs fils.
a. Le frère de Vincent est vraiment naïf !
b. Les voisins d’en face ont des vins fins dans leur cave.
c. Viviane voudrait faire un voyage à Venise en avril.
d. La femme de Joseph souffre d’une forte fièvre.
e. Ma fille rêve d’une voiture neuve pour ses vingt-neuf ans.
Fabien va vraiment bien !
Il fait un vrai festin !
C’est fou ce qu’il dévore !
Des avocats crevettes
Avec des olives vertes,
Des vol-au-vent farcis
Et des foies de volaille,
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Un filet de veau frais,
Un savoureux soufflé,
Une fondue savoyarde,
Des fromages de chèvre,
Un flan à la vanille,
Un bavarois aux fraises,
Pour finir, il avale
Vingt verres de vin fin.
Stopa 33: Poslechněte si věty a všímejte si správné intonace.
a. Je voudrais faire une petite fête pour mes 30 ans.
b. J’ai soif ! Je boirais bien un grand verre d’eau !
c. On pourrait aller danser ce soir ?
d. A ta place, je prendrais une semaine de vacances.
e. Comme j’aimerais habiter aux Antilles !
f. Est-ce que vous auriez une chambre pour deux personnes ?
g. Ça te dirait, un petit dîner en tête-à-tête ?
h. Vous devriez faire un peu de sport.
i. Tu pourrais me prêter un stylo, s’il te plaît ?
j. Un week-end à la campagne, ça te ferait plaisir ?
a. Elle va à Vienne.
b. Le feu est vert.
c. Je suis fier de mon fils.
d. Je suis fou de vous.
e. C’est un vrai sportif.
f. Tu veux du vin.
g. Cet enfant est trop naïf.
h. Victor a neuf ans.
i. Il fait de la voile.
j. Ce livre est neuf.
k. C’est un philosophe objectif.
Vivre sur la Côte-Nord de l’estuaire du Saint-Laurent et ignorer la beauté des baleines, c’est
possible… jusqu’au jour où l’on voit le premier souffle de baleine. Chaque été, de juin à octobre, une
quarantaine de rorquals visitent le Saint-Laurent à la recherche de nourriture, sans oublier les 500
bélugas, ces petites baleines blanches qui vivent là toute l’année. Mais baleines et dauphins souffrent
des activités humaines. Au XIXe siècle, c’était la chasse. En 1986, le Canada a signé un accord qui
interdit la chasse à la baleine pour des raisons commerciales, accord que le Japon, la Norvège et l’exURSS ont refusé. Mais il n’y a pas que la chasse, il y a les bateaux, les filets, les plongeurs qui, pour
s’amuser, s’accrochent aux nageoires des baleines, et surtout la pollution. De même, l’observation
des baleines est devenue un loisir populaire, mais il faut là aussi faire attention à ne pas les déranger
pendant qu’elles mangent ou se reposent, car elles vont peut-être aller ailleurs. La popularité
grandissante des baleines a sensibilisé les Canadiens comme les étrangers de passage aux dangers
qui les menacent. Mieux les connaître pour mieux les protéger, connaître leurs comportements
sociaux et leurs habitudes de voyage, tel est l’objectif que s’est fixé le GREMM. Pour 30 dollars, vous
pouvez parrainer une baleine. Vous recevrez sa photo et son histoire et vous serez automatiquement
abonné au bulletin Le souffleur. Le parrainage dure un an et il est renouvelable.
28
Vous circulez à vélo pour aller à votre travail ou pour votre plaisir ?
Pour me rendre à mon travail ! Ça fait deux ans déjà. J’en avais assez d’être enfermée dans le métro.
Quand je suis sur mon vélo, je me sens bien, je suis libre... J’ai l’impression de vivre plus qu’avant. Et
puis, je fais du sport : je suis en pleine forme, plus besoin de régime ! Non, cette décision, je ne l’ai
jamais regrettée même si maintenant, je mets trois quarts d’heure pour être au bureau alors qu’avant
j’y étais en vingt minutes. Je me lève plus tôt, c’est tout !
Depuis que j’ai acheté un vélo, c’est simple : je suis heureuse ! J’ai complètement redécouvert mon
quartier : les petites rues, les coins sympa, les boutiques que je ne connaissais pas... Ça me fait
vraiment plaisir de circuler à vélo : mon corps fonctionne, les jambes, le cœur... Je me sens vraiment
bien. D’ailleurs, c’est souvent plus rapide que la voiture. Et puis, Paris à vélo, c’est un spectacle
permanent ! Toutes ces lumières, ces atmosphères, je les avais complètement oubliées et elles me
manquent quand parfois je reprends le métro parce qu’il fait trop froid ou qu’il pleut !
Vous circulez en ville à VTT. Pourquoi ?
C’est le vélo de mes quinze ans. Et puis c’est plus sportif. Tous les jours, avec mon vélo, je fais 40
minutes de mise en forme sans payer un centime. Il n’y a pas plus économique que le vélo. Enfin, il y
a à peu près six mois, j’ai quand même payé une amende parce que je n’étais pas descendu de mon
vélo dans une zone piétonne. Ah, s’il y avait plus de pistes cyclables...
Un VTT 24 vitesses pour aller au lycée, pourquoi pas ? Je l’ai eu il y a trois mois, pour mon
anniversaire. Maintenant, je suis beaucoup plus autonome. Bien sûr, le soir, je suis obligé de le
monter au troisième étage, mais au lycée, il est garé ans une salle fermée à clef... Ce qu’il faudrait,
c’est plus de pistes cyclables. Moi, sur mon trajet, je n’en ai qu’un petit bout. Alors avec les motos et
les voitures, ce n’est pas très rassurant...
Que représente le vélo pour vous ?
Le vélo ? J’adore ! J’en fais tous les week-ends et aussi pendant les vacances. Ce que j’aime avec ce
sport, c’est qu’on peut en faire seul ou en groupe, dans la rue ou à la campagne. C’est silencieux, on
ne pollue pas, on n’a pas de problèmes pour se garer... Oui, je trouve que le vélo présente beaucoup
d’avantages. Mais, dans une grande ville comme Paris, le vélo, ce n’est pas franchement l’idéal : à
cause de la pollution ou des risques de vol... Et puis, c’est dangereux : un automobiliste ouvre sa
portière sans regarder et c’est l’accident !
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Stopa 41: Poslechněte si vyprávění..
Mon vélo, je lui parle comme je parlerais à une personne que j’aime bien. J’ai le temps puisque je
traverse tout Paris à vélo pour aller au bureau ou bien voir des clients. Quand il fait un peu froid, je
mets des gants, et quand il pleut, un K-way. Avant, quand il pleuvait, ja m’amusais sur le macadam
mouillé, mais depuis que je suis tombé au milieu de la chaussée, je fais attention. Je suis de plus en
plus raisonnable…
a. On va à la campagne.
b. La voiture est en panne.
c. Il a des vignes en Champagne.
d. Je t’accompagne à Cannes.
e. Agnès est enseignante en Allemagne.
f. Ils se plaignent du bruit.
g. La baignoire est pleine.
h. C’est la tante d’Yvonne.
i. Quelle bande d’ivrognes !
j. C’est ma signature.
Stopa 43: Poslechněte si věty a všímejte si správné intonace.
a. Oh non ! Il recommence à pleuvoir !
b. C’est pas vrai ! Il a gagné au loto ?
c. Tu l’as bientôt fini ce livre ?
d. C’est le plus beau jour de ma vie !
e. Agnès s’est mariée ! Mais avec qui ?
f. Encore de la soupe ! On en a mangé hier !
g. Super ! On va se baigner !
h. Tu en as encore pour longtemps ?
i. Ça, c’est formidable ! Si on ouvrait une bouteille de champagne ?
Tu as fait ta valise ?
Oui, je l’ai faite hier soir.
Tu as pris tes chaussures de ski ?
Oui, je les ai prises .
Tu n’as pas oublié tes chaussettes en laine ?
Non, j’en ai pris trois paires.
Tu as assez d’argent ?
Heu… Je n’ en ai pas beaucoup.
Tiens ! Voilà 500 F. Tu en as assez ?
Oui, merci. Ça suffit. Grand-mère m’a donné 500 F dimanche quand elle est venue dîner.
Tu as téléphoné à tes amis pour leur dire que tu arrives ce soir ?
Oui, je leur ai téléphoné hier soir. Ils viennent me chercher à la gare.
Au fait, et tes skis, où sont-ils ?
Je les ai donnés à Martine. Elle est déjà partie . Ses parents l’ont emmenée en voiture et elle a pris
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mes skis.
Et ton appareil-photo, ne l’oublie pas !
Je n’en ai pas besoin et puis j’ai peur de le perdre.
Je t’accompagne à la gare ?
Non, ce n’est pas la peine. J’y vais seul.
Alors, bon voyage et sois prudent !
Mme Pagnol :
Ça fait 2 ans maintenant que j’habite au Bois-Joli et il n’y a toujours pas de bus après 8 heures du
soir. C’est scandaleux ! J’en ai assez de prendre le taxi pour rentrer chez moi ou d’être dépendante
des autres !
M. Vignon :
La municipalité prétend qu’elle n’a pas d’argent. On paie des impôts, non ? Et puis, il faudrait du
personnel supplémentaire pour s’occuper des enfants à la cantine de l’école. Si ça continue, nos
enfants vont devenir sourds avec ce bruit ! On ne peut pas tolérer ça ! C’est inadmissible !
Mme Vignon :
Et, il n’y a pas d’argent pour faire traverser les enfants au carrefour ! Il y a trop longtemps que ça dure
! Il faut faire quelque chose ! Ce carrefour est bien trop dangereux !
M. Lacour :
Moi, j’en ai ras le bol ! C’est la troisième fois que je repeins la porte du garage. Les jeunes n’ont rien
d’autre à faire que de dessiner des graffitis sur les portes et sur les murs. S’il y avait au moins un
terrain de foot ou un cinéma ! Ça ne peut pas continuer comme ça !
Mme Fontaine :
Sans parler de tous ces vols de voiture. Et ce cambriolage à la pharmacie la semaine dernière… On
n’est plus en sécurité dans ce quartier ! Ce n’est pas normal ! Ça va durer jusqu’à quand, cette
situation ?
M. Ferdenzi :
Vous avez raison. Ça ne peut plus durer ! Il faut régler aussi le problème du ramassage des ordures.
Une fois par semaine, ça ne suffit pas. Ça sent mauvais. C’est inadmissible !
a.
Depuis que j’habite en ville, j’ai des problèmes respiratoires : l’air est tellement pollué !
b.
Depuis toujours je rêve de partir à la découverte de l’Asie. Malheureusement, ce n’est pas encore
cette année que je vais pouvoir y aller. Peut-être que je pourrais pratiquer une technique de relaxation
asiatique. Ce serait moins cher qu’un voyage et cela me changerait de ma routine parisienne.
c.
Cette année, nous avons décidé de partir en vacances en Allemagne ou en Autriche pour changer.
Mais nous voulons aussi faire quelque chose pour notre santé. Vous pouvez nous conseiller des
techniques de relaxation originales ?
d.
J’ai de très gros problèmes de stress. Il faudrait absolument que je travaille moins et surtout que je me
relaxe. Mais quand on passe dix heures par jour devant un ordinateur, c’est pas facile de trouver le
temps de se détendre !
a. Le 14 juillet à la Bastille ! Il faut que j’y aille !
b. Ma fille Marion m’a payé la meilleure bouillabaisse à l’ail de Marseille.
c. Yolande a mal aux yeux et aux oreilles depuis hier.
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d. Soyez plus gentille avec vos employés conseille la voyante à Danièle.
e. Sylvie aime mieux les yaourts à la vanille.
f. Le fils de Camille est débrouillard ! Il a trouvé du travail sur un voilier aux Antilles.
Suzanne :
J’ai toujours aimé le sport, mais à Paris, en hiver, on n’a pas beaucoup de choix, à part la piscine.
Mais je n’aime pas nager. Je me suis dit, ce n’est pas parce que j’ai 50 ans qu’il faut que j’arrête de
faire de l’exercice. Au contraire ! Voilà pourquoi je vais au Gymnase Club. Et puis je fais de la planche
à voile, je vais danser. Je suis toujours en forme et je n’ai jamais de problèmes de santé. Et
intérieurement le sport me détend et m’équilibre.
Hélène :
Je suis avocate. J’ai un travail prenant et stressant. Comme beaucoup de gens, je faisais un peu de
natation en été et rien le reste de l’année. C’est mon associée qui m’a entraînée à faire du jogging. Au
début, j’ai eu du mal, mais les bienfaits ont été assez rapides. J’ai une bien meilleure santé, je dors
mieux. Du coup, j’en fais tous les jours, à l’heure du déjeuner et je reprends le travail avec plus
d’entrain, plus d’enthousiasme. D’avoir vidé ma tête me rend plus performante intellectuellement.
Camille :
Quand j’étais petite, je détestais le sport. La gym, le tennis, les sports d’équipe, rien ne me plaisait. Et
puis, il y a trois ans, pour mes 20 ans, mon copain m’a inscrite à un cours de karaté. Je croyais que
c’était un sport violent. Pas du tout ! Non seulement on apprend à se défendre mais ce sport
développe aussi un excellent équilibre entre le corps et l’esprit. Au moment des examens, j’ai
remarqué que ma faculté de concentration s’était améliorée. Aujourd’hui, je ne peux plus m’en passer.
Moins de stress, plus de concentration, plus d’énergie, je n’ai pas l’intention d’arrêter !
Yvonne :
Je me suis inscrite dans un club de gymnastique parce que je m’ennuyais chez moi. J’y vais presque
tous les jours. Comme je suis veuve, cela me permet de sortir et de rencontrer des gens. A 80 ans, je
n’ai pas de cellulite, je ne souffre ni du dos ni des articulations. Et j’ai toujours le moral ! J’ai essayé de
convaincre des amies de mon âge : impossible ! Elles disent : Vous avez du courage ! Pour moi, ce
n’est pas du courage, c’est un plaisir.
Fils de harki, né dans les quartiers Nord de Marseille, Zizou a découvert le sport en famille. C’est dans
les petits clubs de quartier, là où on connaît la misère mais pas le racisme que Zinedine Zidane a
commencé sa carrière. Le foot, encore le foot, toujours le foot, c’est sa devise : En matière de football,
comme ailleurs, il n’y a pas de secret, on ne s’améliore qu’en travaillant. Devenu célèbre, il n’a pas
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oublié ses origines modestes : Même si je suis devenu un privilégié, j’essaie d’être aux côtés de ceux
qui souffrent, en montrant l’exemple sur le terrain, et en dehors.
Le cyclisme est très populaire en France mais traditionnellement réservé aux hommes et pourtant
Jeannie Longo a su s’imposer dans ce sport pour devenir une de nos plus grandes athlètes. C’est vrai
que j’ai du caractère, reconnaît-elle, et surtout de la détermination et de la volonté. S’entraîner,
souffrir, pleurer et recommencer encore et encore, mais les résultats sont là. Le palmarès de cette
géante de la route est exceptionnel de son premier championnat de France en 1979 à sa médaille d’or
aux Jeux olympiques en 1996.
Elle a des jambes en or avec lesquelles elle court, elle court Marie-Josée Pérec. Non seulement après
l’or des médailles olympiques mais aussi après l’argent de la pub : Nike, Reebock, Pepsi Cola,
Mitsubishi s’arrachent la fille la plus rapide du monde qui sait parfaitement faire une pause, juste le
temps de se prendre pour un top model.
Avec Yannick Noah comme capitaine, l’équipe de France a remporté la Coupe Davis en 1991 à Lyon,
puis en 1996 à Malmö. Un vrai champion pour lui, c’est un mec qui se connaît, quelqu’un qui a du
courage, de la résistance, quelqu’un qui se contrôle. C’est aussi un type ouvert aux autres, qui sait
donner à ceux qu’il aime. C’est ce que fait Yannick depuis dix ans déjà à travers l’association les
Enfants de la terre : Aider les enfants, leur donner un toit, de la nourriture, des jouets. Le sourire d’un
enfant me bouleverse : c’est la plus belle recompense.
Jacques Bollard, bonjour. Permettez-moi de vous présenter à nos auditeurs. Vous êtes sociologue et
vous avez consacré votre dernier livre au travail de demain. Dès les premières pages, vous annoncez
la couleur. Je cite : Les plans de carrière garantis à vie, c’est bien fini. L’entreprise de demain ne fera
plus que répartir des projets entre des travailleurs indépendants.
Cette tendance, on la constate déjà : 27 % des Britanniques et 30 % des Italiens n’ont déjà plus de
lien concret avec leur entreprise. D’ailleurs, dans mon livre, je ne fais que reprendre ce que beaucoup
de salariés pensent déjà. Selon un sondage SOFRES d’octobre 1995, 64 % des salariés français
jugeaient que leur entreprise avait de l’avenir, mais... sans eux.
Comment vous représentez-vous les entreprises de demain ?
Les entreprises concentreront un petit groupe de salariés permanents dans leurs murs. Ce sont eux
qui prendront les décisions. Autour de ce noyau dur, on trouvera un deuxième cercle, qui comprendra
des personnes avec un statut plus précaire : contrats à durée déterminée, stages, emplois à temps
partiel.
Vous évoquez aussi un troisième cercle.
En effet. Il comprendra les sous-traitants, les intérimaires, des gens souvent très compétents, mais
exposés à la conjoncture.
Cette image des cercles concentriques rappelle, d’après vous, un paysage plus ancien.
Exactement. Elle me fait penser à un paysage du Moyen Âge, à un château fort, ce qui m’a permis de
conclure sur cette question : En avant vers le Moyen Âge ?
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La précarité est l’un des aspects du travail de demain. Mais vous évoquez aussi des aspects plus
positifs.
Bien sûr. Travailler chez soi, avoir plus de temps libre, cela permettra aussi de se consacrer
davantage à d’autres activités : la vie de famille, les hobbies, les liens sociaux...
Le télétravail, c’est donc l’utopie de demain ?
Peut-être. Plus d’embouteillages, plus d’horaires fixes, des villages qui renaissent, une nouvelle
convivialité...
Utopie ou scenario-catastrophe ? Chers auditeurs, vous avez maintenant la parole. Pour cela, appelez
le…
Mme Hulot, une octogénaire de Chambéry, ne pourra plus s’adonner à sa passion favorite : le
téléachat. La justice a tout simplement décidé que son hobby menaçait son capital. Car, pendant
quatre ans et sans bouger de son fauteuil, elle a dépensé une somme considérable par téléphone et
carte de crédit. Spectatrice quotidienne du téléshopping sur TF1, elle a commandé presque tous les
produits présentés sur le petit écran : du matériel de body building, un thermomètre auriculaire, des
téléviseurs, un autocuiseur, un chariot multi-shopping, etc. Il y a quelques mois, la banque de Mme
Hulot s’est inquiétée et a alerté le tribunal. Pour se débarrasser du trésor –près de 500 articles d’une
valeur estimée à 500 000 F –,on a organisé une vente aux enchères. Le produit de ses enchères sera
intégralement reversé sur le compte en banque de la vieille dame.
a. Elle va aux Halles.
b. C’est très haut.
c. Comme je suis heureuse !
d. J’ai deux hamsters.
e. Nous habitons à Zurich.
f. Quelle honte !
g. Je suis si bien dans mon hamac !
h. Vous prenez des hors d’œuvre ?
i. Quelle histoire bizarre !
j. Ces homards ne sont pas frais.
k. J’ai acheté des herbes de Provence.
Stopa 59: Poslechněte si různá hlášení.
a.
Le soleil brillera sur l’ensemble du pays, et les températures seront très élevées. Quelques nuages
bas retarderont l’arrivée du soleil sur les côtes bretonnes et normandes. Météo France annonce de
fortes chaleurs dans l’après-midi. Les températures monteront jusqu’à 39° dans les plaines du SudOuest et dans l’arrière-pays provençal.
b.
La journée aura un petit goût d’automne. La majeure partie du pays se trouvera sous la grisaille et
sous la pluie. Le soleil ne fera que de timides apparitions sur l’Aquitaine et le Midi. Les températures
maximales attendront 32° sur les côtes méditerranéennes.
c.
Une importante perturbation s’avancera sur le pays. Il pleuvra dans le Centre, et des risques
d’averses se maintiendront dans la région Rhône Alpes, sur le pourtour méditerranéen et en Corse. Le
mistral et la tramontane souffleront avec des rafales pouvant atteindre 80 km/h.
d.
Ce dimanche sera chaud sur une grande partie du pays. Sur la moitié nord, le soleil brillera largement
dans un ciel sans nuages. Du Sud-Ouest au Massif Central, le temps sera également très ensoleillé,
34
mais des orages pourront éclater sur le relief des Pyrénées et du Massif Central dans le courant de
l’après-midi.
Sally:
Sally fait des pizzas dans un supermarché de Brighton pour aider ses parents à payer ses études.
Mais un jour, elle sera une grande couturière ! Pour réaliser son rêve, pas de hobbies, peu de loisirs et
surtout pas de dépenses inutiles. Un jour, elle se mariera, fera une grande fête pour les amis et aura
des enfants. Mais pour l’instant, elle se concentre sur ses études. Ma plus grande angoisse, c’est de
ne pas trouver de travail après tout le mal que je me suis donnée pour étudier. L’Europe ? Elle n’y
pense presque jamais. Les discours des politiciens ne la concernent pas. Pour elle, être européen
c’est avant tout, avoir le droit de travailler ou de s’installer n’importe où dans la communauté
européenne.
François:
Une fois dans sa vie, François, 18 ans, élève en terminale dans un lycée de Saint-Malo, s’est senti
européen. C’était face à de jeunes Américains qui ne connaissaient de la France que Paris. Ils
parlaient de moi comme d’un Européen, explique-t-il. Mais pour le moment, François partage le
sentiment de la plupart de ses copains. Européen ? Pas encore. L’Europe, c’est loin, très loin, mais
c’est aussi un espoir. Il espère que ce nouveau monde mettra fin au racisme. François voudrait
beaucoup voyager, en Angleterre, en Italie, en Espagne, pour découvrir d’autres façons de penser.
Son inquiétude pour l’avenir est celle de sa génération : faire des études pour ne rien trouver au bout.
Maria:
L’Europe ? Un synonyme de voyages pour Maria qui a déjà visité Londres, Paris, Lisbonne et
Amsterdam. Elle est née dedans et elle la vit au jour le jour. Mais un vrai gouvernement
communautaire, à son avis, tient de l’utopie. Il y a trop de différences entre l’Europe du Nord et
l’Europe du Sud. Jamais nous n’arriverons à nous entendre. Et ce n’est pas l’Europe qui changera
quelque chose. On ne sera pas plus européen parce qu’on aura la même monnaie. Pour l’avenir,
Maria, étudiante en psychologie à Barcelone ne s’inquiète pas trop. Sa famille connaît un psychiatre
qui a promis de l’aider quand elle aura terminé ses études.
Daniel:
Cet apprenti cuisinier rêve de devenir informaticien. Les gâteaux, les fourneaux, c’est seulement une
assurance sur l’avenir parce qu’il s’ennuyait à l’école et voulait rapidement gagner sa vie. Depuis qu’il
a six ans, l’informatique est sa passion. Ses loisirs ? Surfer des nuits entières sur Internet. Comme la
plupart des jeunes Suédois, Daniel a vu du pays. Avec ses parents, il a parcouru toute l’Europe.
Daniel n’a pas d’angoisses, mais il n’a confiance qu’en lui-même, en sa famille, en ses amis. Les
hommes politiques ? Ils promettent beaucoup, mais concrètement ils ne font rien. L’Europe ? Ce n’est
qu’un projet économique mais pas culturel. On ne peut pas se sentir européen dans ces conditions.
L’avenir ? Il le voit sombre. Notre belle société égalitaire ne fonctionne plus. Il y a toujours plus
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d’impôts, plus de taxes, plus de pauvres.
Ressortir les vélos, les rollers ou redécouvrir les transports en commun… juste pour une journée.
C’est l’objectif de l’opération En ville sans ma voiture qui aura lieu, à l’initiative de la ministre de
l’Environnement, en septembre prochain, dans 15 villes françaises. La ministre a lancé un appel pour
que d’autres villes se joignent à l’événement, les plus importantes (Lyon, Marseille et surtout Paris)
n’ont pour l’instant pas montré leur intérêt. Dans chacune des villes participantes, le centre-ville sera
réservé aux piétons, aux vélos, aux véhicules propres et aux transports collectifs. Des moyens de
circulation alternatifs (vélos, scooters électriques) seront mis à la disposition des habitants, qui devront
laisser leur voiture sur des parkings. Nous voulons faire découvrir aux gens d’autres moyens de se
déplacer, explique la ministre. L’objectif de cette journée sans voiture est de rétablir la place des
piétons dans les centres-villes, mais aussi de faire redécouvrir à la population les transports en
commun, qu’elle utilise de moins en moins. D’après les résultats d’un sondage, plus de 64 % des
Français pensent que le trafic automobile en ville est insupportable. Près de 70 % des Français
souhaitent que certains jours, les centres-villes soient interdits à la circulation. La ministre de
l’Environnement souhaite créer, à l’exemple de la Fête de la musique, une fois par an, une journée
sans voiture dans toute la France.
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Francouzština FACETTES pokročilí
1. Laurent a des examens dans une semaine et il commence à être très nerveux. Qu’est-ce qu’il
bouffe !
2. Aujourd’hui, c’est son tour de faire la bouffe.
3. Depuis qu’il travaille pour cette société, il ne voit plus ses amis : son travail le bouffe complètement.
4. Laurent n’est pas là, il est parti acheter la bouffe.
Chers auditeurs, bonjour ! Bien vivre, c’est ce que nous voulons tous, mais que voulons-nous vraiment
? Elisabeth, vous êtes hôtesse d’accueil dans un office de tourisme, alors pour vous que signifie bien
vivre ?
Eh bien ! Bien manger, bien boire, bien dormir, avoir du temps pour soi et pour les autres.
Et vous, Mathieu ?
C’est vivre plutôt à la montagne entouré d’amis et de la famille. Etre actif, faire du sport, la vie ! Bien
manger, profiter !
Pour vous Sophie ?
C’est réaliser un minimum de rêves, si c’est possible. Et puis les bons moments dans la vie, ça
s’arrose !
Paul, vous qui êtes à la retraite, que diriez-vous ?
C’est quand on peut se faire des petits plaisirs et faire plaisir aux autres. C’est quand la famille
s’entend bien et puis quand on voit le docteur le moins souvent possible.
Valérie, vous êtes mère de famille, actuellement sans emploi, bien vivre, pour vous qu’est-ce que c’est
?
C’est d’abord quand tout le monde est en bonne santé, qu’il y a pas de problèmes avec les enfants.
Mais pour vraiment bien vivre, il faut des petites choses en plus, se faire plaisir, partir en week-end,
faire la fête de temps en temps, pas être obligé de compter chaque centime et avec un seul salaire, en
ce moment, c’est difficile.
Témoignage 1
«Dès que j’ai commencé à travailler, j’ai tout planifié. Je voulais économiser pour m’acheter un deux
pièces. Régulièrement, je rencontrais ma banquière pour lui demander conseil. Pendant deux ans en
vivant chez mes parents, j’ai pu mettre de côté les deux tiers de mon salaire. J’ai besoin de savoir où
je vais, c’est dans mon caractère. Je ne pouvais pas envisager de passer brutalement de la stabilité à
une situation précaire.»
«Emmanuel souhaitait prendre le temps de préparer son avenir. Lui et sa sœur ne sont pas pressés
de partir, nous n’allons pas les mettre à la porte. Moi, j’étais fille unique mais à l’époque, les jeunes
partaient plus tôt. Les règles de vie étaient plus strictes. Nous avions envie de rompre avec ce carcan
le plus rapidement possible.»
Témoignage 2
«Je fais ce que je veux... J’ai une petite voiture, ce qui me permet de sortir avec des copains ou d’aller
faire un tour quand j’en ai envie. Bien sûr, quand je rentre tard, il faut que je fasse attention pour ne
pas réveiller mes parents. Et puis, le lendemain d’une sortie, je me lève tard, j’ai droit à des remarques
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de la part de mon père. Mais bon, quand je suis fatiguée, c’est pratique, on s’occupe de moi, je n’ai
pas à me cuisiner quelque chose le soir. Je sais que je peux compter sur eux. Le jour où je partirai,
mes parents seront tristes , mais ça nous fera du bien à tous. Pour cela, j’attends de pouvoir gagner
un peu plus, car pour le moment c’est vraiment un peu juste.»
«Nathalie, elle fait un peu ce qu’elle veut. Comme nous habitons sous le même toit, je la vois vivre, et
de temps en temps, je lui dis qu’elle exagère. Ça ne lui plaît pas et le ton monte vite. C’est ma fille, et
j’ai parfois du mal à la considérer comme une adulte qui vit sa vie.»
«Avec Nathalie, ce n’est pas toujours simple mais quand elle va partir ça va laisser un vide.»
Témoignage 3
«Si je n’avais pas eu mes parents, je serais à la rue. J’essaie de demander le moins possible. Ils
m’offrent le gîte, le couvert. Souvent ils me donnent d’eux-mêmes de l’argent. Quand je n’ai plus
d’essence, ils me font le plein. J’ai de la chance, mais je me sens dépendant. C’est très dur à vivre.
Depuis dix mois maintenant , je cherche une place de juriste dans une entreprise. J’avance dans un
tunnel sans fin. Récemment, je me suis inscrit à des concours de la fonction publique parce qu’il faut
tout tenter.»
«Je suis malheureuse pour lui. Il a des dispositions et il a l’âge de vivre seul d’être indépendant.»
«Il est obligé de nous supporter ; nous aussi, nous sommes obligés de le supporter.»
a. Marie: «Pour moi, ma famille c’est d’abord mon mari et mes deux filles mais c’est aussi mes parents
et mon frère.»
b. Philippe: «J’habite encore chez mes parents. Ma famille, c’est mes parents et ma sœur. J’ai aussi
une copine, mais c’est encore trop tôt pour parler de famille.»
c. Antoine: «Ma famille, c’est ma compagne et notre fils de deux ans.»
d. Leila: «Ma famille, c’est ma petite fille de sept ans et mes parents qui m’aident beaucoup.»
e. Claire: «Ma famille, ben, c’est ma maman et mon papa ; ma sœur, mes deux mamies et mon papi,
et puis tous les cousins qui vont en vacances avec nous.»
Et au travail, ça change quoi?
Pas grand chose. Je dois partager certains de mes clients avec un collègue, je dois aussi planifier
mes rendez-vous un peu plus à l’avance en évitant les jours où je suis de congé. Si un client ne peut
venir que le mercredi ou le jeudi où je ne travaille pas, soit il accepte de voir un de mes collègues, soit
je reporte le rendez-vous. En fait, j'ai constaté un effet pervers: il y a eu un recrutement à l’agence et
nous sommes maintenant dix.
C’est positif, mais du coup, la direction nous a fixé des objectifs plus ambitieux qu’avant, sous prétexte
que nous sommes plus nombreux lorsque la moitié de l’effectif est absent deux jours par semaine. Du
coup, nous devons augmenter nos résultats alors que nous travaillons moins! En somme, la réduction
du temps de travail est bénéfique sur le plan personnel, mais je subis plus de pression au travail.
«Bonjour, je fais un petit sondage sur le temps libre des Français. Si vous aviez une heure de libre,
que feriez-vous ?»
1. «Ben, je ferais les magasins.»
2. «Non ! C’est tuant, moi je me fais couler un bain et j’oublie tout.»
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3. «Moi, je ferais un petit footing, j’ai pris quelques kilos ces derniers temps»
4. «Une heure, c’est peu ! Je vais prendre un café et je fais mon courrier.»
5. «Je ne sais pas, je suis retraitée, alors moi le temps libre c’est tous les jours.»
«Et tout un après-midi ?»
1. «Alors là, j‘irais voir une copine.»
2. «Pour moi, ce serait piscine et sauna.»
3. «Si c’est un mercredi, je vais peut-être m’occuper de mon fils, je le vois si peu.»
4. «Je pourrais enfin faire du rangement chez moi.»
5. «Moi, l’après-midi, je fais une petite sieste et je jardine un peu.»
«Au début, son après-midi libre a permis à Claire de régler quelques formalités administratives sans
encombrer son week-end. Les courses pour la semaine, le ménage de son appartement en centreville ne sont plus des corvées qui lui mangent le samedi.»
«Ce que c’est de pouvoir prendre mon temps quand arrivent deux jours et demi de week-end. Avant à
39 heures, je ne le voyais pas passer, j’étais speedée. Maintenant, je suis beaucoup plus disponible,
vraiment relax. Il m’arrive aussi de faire une sieste le vendredi après-midi. En ce moment je retape un
vieux meuble que j’ai récupéré tout près. Je gratte, j’enlève la cire, je ne regarde pas les heures que
j’y passe. Cet été, je profitais du vendredi pour aller au bord de la mer, à une petite heure de route,
loin de la foule du dimanche. En partant vendredi après-midi , (donc période bleue), j’économise 120
francs sur mon aller-retour de train.»
«Ce vélo tout-terrain, je l’ai acheté chez Decathlon. C’est un vélo pas cher , made in China. C’est
qu’au début, je ne pouvais pas savoir si ça allait me plaire..., maintenant j’adore le VTT et mais j’ai
aussi d’autres activités. La réduction du temps de travail, ça laisse du temps libre mais ça coûte cher
aussi à force de multiplier ses activités.»
Les dépenses de loisirs représentent officiellement 7,4 % du budget des Français, mais en réalité plus
du double.
Les dépenses consacrées aux loisirs regroupent à la fois les biens d’équipement (télévision, radio, hifi, photo, sport etc.) et les dépenses de spectacles, livres et journaux. Elles sont la conséquence de
l’accroissement du temps libre et du changement de mentalité face à son utilisation. La croissance
des dépenses a été entretenue par l’apparition de nouveaux produits: lecteurs disques compacts,
caméscopes, ordinateurs, consoles et jeux vidéo. Il faut cependant préciser que certaines dépenses
comme l’alimentation de loisirs (restaurants), les frais d’hôtel, les dépenses effectuées auprès des
agences de voyage ne sont pas comptabilisés. Leur poids est difficile à estimer, mais il représente au
moins autant que les seuls loisirs.
Si tu réussis ton examen, qu’est-ce que tu vas faire ?
Il faut d’abord que je réussisse avant de faire des projets.
D’accord ! Mais, si tu réussissais , que ferais-tu après ?
J’ai plusieurs idées en tête mais aujourd’hui, il faut absolument faire des stages pour trouver du travail.
Alors, je vais écrire d’abord à plusieurs entreprises de publicité.
Si c’est la publicité qui t’intéresse, je peux en parler à mon oncle, il travaille chez «Publicorp».
Si tu lui parlais, ce serait vraiment très chouette de ta part. Et toi tu as des projets ?
39
Oui, prendre du bon temps ! Je pars en Martinique, si tout va bien. Tu devrais venir avec moi. Si tu
veux en profiter avant les choses sérieuses, c’est maintenant ! Ce serait formidable, si tu acceptais.
a. J’me suis fait jeter du cours.
b. Errare humanum est.
c. ¿Qué hora es?– Son las nueve menos diez.
d. J’en ai raz-le bol des heures sup, moi j’me taille!
e. I’m very glad to meet you, I hope we’ll have a nice day.
f. Considérons un condensateur, c’est à dire un ensemble de deux conducteurs dont les surfaces en
regard, séparés par un isolant, sont proches l’une de l’autre.
g. T’as vu la meuf-là, la classe hein !
h. Nous vous proposons une formule individuelle adaptée à vos besoins. Voici une liste de nos
différentes prestations.
i. Es sin ke Storiche meh!
j. En vertu de l’article 7 du code pénal, je vous condamne à une amende payable à une association
caritative.
Louis :
«Les gens viennent chez nous parce que notre région est belles et qu’il fait toujours beau. Ce que
j’aime chez nous, c’est que malgré le stress du boulot, on prend quand même le temps de discuter en
buvant un petit pastis. C’est vrai, il y a des tension entre les différents quartiers mais au stade ou
devant la télé on se retrouve tous pour encourager notre équipe préférée, le foot, c’est fort ici, garçons
et filles, jeunes ou vieux, ont les même idoles et puis il y a tous ces groupes de jeunes qui chantent et
font du rap, peu importe leur origine, ils chantent ensemble avec le même accent de chez nous.»
Eric :
«Chez nous, le dimanche ou en semaine, vous trouverez toujours un stand où on vend des gaufres.
Et puis nos frites, c’est quelque chose. Dans les rues, sur les affiches publicitaires, les slogans sont
souvent écrits dans la langue des deux grandes communautés du pays. D’ailleurs pour trouver du
travail ici, il est recommandé d’être bilingue.»
Pierre :
«Ce que j’aime chez nous, c’est l’espace. Il faut pas avoir peur de faire des kilomètres pour aller voir
ses amis. J’ai déjà fait 400 km pour dîner chez un copain, je suis rentré à 4 heures du matin pour
travailler le lendemain. En France, les gens n’aiment pas l’hiver, nous, on s’est adapté. On a des
magasins souterrains, nos grands sports sont liés à l’hiver, le hockey, le patinage. Les Français ne
nous comprennent pas toujours mais nous, on n’a pas besoin d’académie pour sauvegarder notre
langue, on le fait tout seuls, vous savez ce qu’est un chien chaud ?»
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Geneviève :
«Ici, il y a des gens qui ont l’accent et d’autres qui, en plus de parler avec un accent, parlent le patois.
Autrefois, il y avait des mines, puis ça a été la sidérurgie qui a connu une crise pendant les années
70-80. Aujourd’hui, la région change de visage, on est quand même au cœur de l’Europe, à 100 km
de Bruxelles, à une heure de TGV de Londres ou de Paris.»
Stéphane :
«On se moque quelque fois de notre accent, et on a même voulu nous interdire notre langue régionale
mais nous l’avons défendue. D’ailleurs, si vous venez faire un tour chez nous, vous verrez que tous
les panneaux avec les noms de villes sont dans les deux langues. Ce n’est pas contre le français,
mais c’est triste de faire mourir une culture. En France, chaque région est différente et c’est ce que
j’aime.»
Caroline :
«Chez nous, des langues et des accents, il y en a ! D’ailleurs beaucoup de gens viennent travailler
chez nous et retournent le soir chez eux, en France où la vie est moins chère.»
Vous savez quoi ? Voilà, je déménage !
Ah bon ! Tu vas où ?
Depuis le temps que tu cherchais, alors c’est où ?
J’ai trouvé un petit appart pas cher à 25 km en banlieue.
L’horreur ! Alors on pourra plus sortir ensemble. Moi, je reste en ville.
Ecoute, personne ne te demande de t’installer en banlieue, d’ailleurs moi j’y réfléchis aussi, la
pollution, je n’supporte plus.
C’est vrai ça et les loyers sont quand même moins chers, je…
Tu crois, et les frais de transport ?
Et le temps que tu vas passer dans les trains de banlieue !
T’as un balcon j’espère ?
J’ai tout calculé, c’est décidé. Vous viendrez me voir le week-end, on fera…
Il faut combien de temps pour y aller ?
Ça s’appelle comment ton bled ?
Montigny, c’est très joli.
Tu trouves qu’elle a raison toi ?
Ça peut être bien, c’est peut-être calme alors qu’ici…
Tu vas t’ennuyer à mourir.
Il est comment cet appart ?
Ben, c’est un deux pièces…
1.
Qu’est-ce que vous en pensez?
41
Vous savez ce n’est pas avec discuter qu’on va avancer.
2.
Tu n’as pas su que j’avais ce rendez-vous ?
Ecoute, je ne savais pas que c’était si important !
3.
Alors, mon cadeau ne te plait pas ?
Si, ça me fait beaucoup de plaisir.
4.
J’espère que tu viennes à Rennes l’été prochain !
Je ne peux rien te promettre.
5.
Si on aurait le temps, on t’accompagnerait !
Vous dites toujours ça !
a.
Ma chérie, ma princesse, je pense à toi.
b.
Tu veux que je te dise... Tu m’énerves, tu ne penses qu’à toi.
Et toi, tu t’es entendu. Tu n’as qu’un mot à la bouche : moi, je... moi, je...
c.
Je voudrais encore vous dire ce que je pense de votre proposition.
d.
Ah oui ! Tu penses que je ne suis pas capable de me lever demain à 6 heures du matin pour partir
avec vous. Eh bien, on verra si je ne suis pas demain au rendez-vous.
e.
Eteins-moi cette télé !
Pourquoi ?
Tu as bien un contrôle de biologie demain, non ?
Justement, c’est l’heure d’Urgences à la télé, c’est exactement mon sujet.
«Pour l’instant, vous venez de l’entendre, le mot d’ordre est toujours le même : le blocus continue, les
barrages se poursuivent et la pénurie de carburant s’amplifie, à l’exception de l’Ile de France où l’on
arrive sans trop de difficultés à faire le plein. La France est au bord de la panne sèche. Près de 80 %
des stations-service sont en rupture de stock, dans les Côtes d’Armor on estime même que les
réserves destinés aux services d’urgence seront à sec d’ici deux jours. Un peu partout les préfets ont
multiplié les décrets de rationnement, les automobilistes sont invités au covoiturage et même à limiter
leurs déplacements.
Situation critique également dans les aéroports. A Nice, le manque de kérosène devrait passablement
perturber le trafic aujourd’hui. Même inquiétude du côté des loueurs de voitures qui n’ont plus
d’essence et des commerçants qui n’auront bientôt plus rien sur leur rayonnage.»
Armand :
«Cette année, ça fait quarante ans que je suis épicier. Mon père, Djebraïl Bahadourian, s’est installé
ici en 1928. En 1936, il y a eu la construction du Monoprix. Ici, c’était le quartier du Sud, avec toutes
les bonnes odeurs. On venait manger de la morue et des frites. Quand le Monoprix a fermé, la ville a
préféré le démolir. Ce qui est fait est fait. L’immeuble du Clip qui a été construit à la place devait
s’ouvrir sur une nouvelle voie de circulation mais le projet a été abandonné. Du coup il ne reste que le
Clip qui a tout bouché. C’est un mur de béton. Maintenant, rue Moncey, tout le monde est dans
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l’ombre.»
Séverine :
«Avant de venir travailler ici, je passais tous les jours en bus. J’aimais bien. Maintenant l’immeuble du
Clip, avec ses vitres, c’est un peu trop futuriste. Au départ, ça devait être des bureaux. Quand on s’est
installé ici, au rez-de-chaussée, on comptait sur deux cents femmes qui auraient travaillé au-dessus.
Aujourd’hui, il y a beaucoup de bruit, des travaux, peut-être, mais on ne voit jamais personne. Les
bureaux sont vides, et on a des clients fantômes.»
Mahmoud :
«J’habite à Lille depuis ma naissance, près du port fluvial. Le centre-ville me plaît, c’est de plus en
plus beau. Pour le reste, dans les quartiers, il faudrait rénover. Il faudrait des activités pour les jeunes
de plus de 18 ans, comme la gratuité des salles de sport. Quand on n’a pas le teint adéquat, il y a
beaucoup de contrôles de police abusifs. Les transports gratuits pour les chômeurs, c’est bien, mais
quand on n’est pas indemnisé par les Assedic, on n’y a pas droit. Si je devais partir, c’est ma famille
qui me manquerait, pas Lille.»
Geneviève :
«Au fil des années, Lille s’est retapé, et ces dix dernières années ont été spectaculaires. J’habite une
maison dans le Vieux-Lille, aujourd’hui on voit même des groupes de Japonais s’y promener. Toutes
les boutiques haut de gamme qui étaient dans les rue piétonnes se sont installées dans le Vieux-Lille.
Le fait que Mauroy ait été Premier ministre a permis à la ville d’en tirer des dividendes, notamment le
TGV. Si le gamin de ma fille - qui vit à Paris - est malade, je prends le TGV de 8 heures et je vais la
dépanner.»
Jean-Marc :
«Il n’existe pas ici de zones de non-droit comme en banlieue parisienne, à Lyon ou à Marseille. La
police va partout. Ici, on peut se féliciter de bien gérer les mouvements de violence urbaine, et ça va
continuer à s’améliorer avec la police de proximité, car tout le monde (élus, associations, écoles) tire
dans le même sens.»
Dominique :
«Wazemmes, c’est multiculturel, on n’a pas de quartier chinois comme à Paris, ici les Asiatiques sont
mélangés avec les Africains, les Français, les Maghrébins. Il y a des îlots de pauvreté très forte dans
ce quartier, il est rare de trouver des logements pour les familles, ce sont surtout des studios, des
deux pièces. Et les élus, on ne les voit pas. Autre problème: ça boit beaucoup. Un jour, je me suis
amusé à compter : il y a vingt-sept bistrots autour de la place du marché.»
43
Marie :
«Moi, je suis française, je suis née à Paris. Comme beaucoup de jeunes de leur époque, mes parents
n’ont pas voulu rester dans leur village comme leurs parents et ils sont montés à Paris comme on
disait à l’époque, ma mère de sa Bretagne et mon père de son Sud-Ouest. C’était des émigrés ruraux
et je sais qu’ils ont eu du mal à s’habituer à la grande ville. Pour moi, la province, c’est les vacances et
pour eux, ce sont les retrouvailles avec les amis d’enfance au pays natal.»
Jean-Paul :
«Je suis français parce que je suis né en France. Mon grand frère est né au Cameroun et il n’est pas
français. Chez nous, on a toujours parlé français . Pour moi le Cameroun, c’est vraiment loin, mes
parents y habitent maintenant mais j’y vais rarement. Pour Noël, les parents viennent, c’est plus
pratique. Mon frère n’avait pas de travail et après ses études, il a eu des problèmes avec ses papiers
alors, il est parti au Cameroun mais pour lui c’est difficile là-bas, c’est vraiment une autre vie. J’ai un
travail intéressant, ma femme est d’origine française. Ici, je me sens chez moi.»
Olivier :
«Je suis français mais je suis né en Allemagne. Je suis bi-national comme beaucoup de mes copains,
ma mère est française et mon père est allemand. En ce moment, je fais mes études en France et
finalement, c’est la première fois que je ne suis pas touriste. J’ai toujours habité en Allemagne mais
j’ai aussi toujours parlé les deux langues. Je suis à l’aise dans les deux pays parce que je comprends
les deux langues. Si je n’avais parlé que l’allemand, je n’aurais peut-être pas eu envie de faire mes
études en France.»
Samira :
«Je suis française, je suis née en France. Mes parents sont venus ci après la guerre d’Algérie, ils ne
sont pas français et à la maison on a toujours parlé arabe. Ma mère ne parle pas bien le français et je
l’accompagne quand elle doit faire des démarches administratives. Pour mes parents, la France c’est
le travail mais ils ne fréquentent pas beaucoup les français d’origine. Dans notre cité il y a surtout des
émigrés. Pour moi ça n’a pas toujours été facile d’être entre deux cultures.»
Antonio :
«Moi, je suis français, mais je n’ai pas toujours dit ça. Je suis né au Portugal comme mes parents.
Nous sommes arrivés en hiver à côté de Clermont-Ferrand dans les années 60, mes parents avaient
déjà un cousin qui s’était installé là-bas; à l’époque, beaucoup de Portugais travaillaient pour les
usines Michelin. Chez nous, personne ne parlait français, mon père a vite appris à l’usine; pour ma
mère, ça a été plus dur parce qu’elle restait à la maison. Mon frère et moi au début à l’école, on était
toujours ensemble, on se soutenait. Aujourd’hui, j’ai réussi dans le stylisme et je suis fier de mes
origines portugaises, mais longtemps j’en ai eu honte. Il y a cinq ans, je suis retourné au Portugal, j’ai
trouvé ce pays superbe, je n’y étais pas allé depuis plus de 25 ans, mais je suis bien en France, je me
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sens français.»
«Située dans l’océan Indien, l’île de la Réunion a un climat tropical. Sa forêt tropicale, ses massifs
volcaniques, dont certains sont encore en activité, ses plantations de canne à sucre en font un île
haute en couleur. Le tourisme y est en forte expansion depuis plusieurs années. L’île possède de
nombreux atouts , comme la multiplicité ethnique de sa population, sa faune, sa flore ou sa situation
de pivot au sud-ouest de l’Océan Indien. La Réunion bénéficie d’un tissu urbain développé avec 7
villes de plus de 30 000 habitants dont Saint Denis, le chef-lieu. Avec 706 000 habitants, sa population
est la plus importante de tout l’Outremer. Française depuis 1638, ses premiers colons s’y sont établis
vers 1665. La Réunion devient un département français en 1946. Doté d’un Conseil régional, elle est
représentée par 5 députés. En tant que département français d’Outre-mer, la Réunion fait partie de
l’Union européenne.»
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Niger - Loi n°2014-09 du 16 avril 2014 portant Code des